• la glace dans l arctique en hiver fond bien plus rapidement que par le passé , perdant 6 pour cent chacune des deux dernières années ,selon deux nouvelles études de la NASA rendues publiques hier.

    "cela ne s était jamais produit auparavant ",explique le chercheur de la NASA Josefino Comiso , qualifiant la nouvelle d alarmante , et qui vient prouver que le phénomène est "effectivement lié au rechauffement climatique lié aux gaz à effet de serre".

    la fuite des ours

    Pendant plus de 25 ans , la glace de l artique a diminué lentement au cours de l hiver , d 'environ 1,5 pour cent par décennie. Mais ces deux dernières années , le rythme s'est accéléré , la fonte étant dix a quinze fois plus rapide : entre 2004 et 2005 , le volume de glace a diminué de 2,3pour cent et de 1,9 pour cent supplémentaire au cours de l'année écoulée.

    Selon une seconde étude de la NASA ,effectuée sur un secteur spécifique de l'artique  oriental , le volume de glace hivernale a diminué d'environ 40 pour cent ces deux dernières années. Cette fonte,qui menace tout écosystème artique via la destruction du phytoplancton , est due à des eaux de plus en plus chaudes , meme en hiver , dont la durée se raccourcit chaque année , la période de fonte s'allongeant. Les chercheurs et climatologues prédisent depuis de longues années cette fonte et la menace qu'elle représente pour toute la faune de l artique.

    Qand à la fonte des glaces pendant lété , c'est un phénomène deje confirmé depuis plusieurs années , qui pousse les ours polaires à s'enfoncer de plus en plus dans l'interrieur des terres pour pouvoir s'y nourir . La taille des représentants de l'espèce a en outre diminué . http://www.nasa.gov/centers/goddard/news/topstory/2006/seaiceïmeltdown

    le soleil non-coupable

    L'évolution de l'énergie dégagée par le soleil ne semble pas avoir eu de conséquences sur  les changements climatiques sur terre , au moins ,depuis le XVII ème siècle et probablement au cours des derniers millénaires ,dans la revue britannique NATURE.

    La luminosité du soleil ,ou l'énergie qu'il dégage ,augmente ou diminnue d'un peu moins de 0,1 pour cent selon le cycle des taches solaires .En remontant par extrapolation les périodes de ce cycle jusq'à l'an mille, les chercheurs ont conclu que les variations ont été trop faibles pour expliquer celles du climat sur terre.

    Qu'allons nous laisser a nos enfants?..........

    article écris sur le journal nice-matin


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  • Une vieille légende hindoue
     
     
    Auteur inconnu
     
     
     

    Une vieille légende hindoue raconte qu'il y eut un temps où tous les hommes étaient des dieux, mais ils abusèrent tellement de leur divinité que Brahma, le maître des Dieux décida de leur enlever le pouvoir divin et de le cacher à un endroit où il leur serait impossible de le retrouver. Le grand problème fût donc de lui trouver une cachette.
     
    Lorsque les dieux mineurs furent convoqués à un conseil pour résoudre le problème, ils proposèrent ceci: "Enterrons la divinité de l'homme dans la terre".
     
    Mais Brahma répondit:
    "Non, cela ne suffit pas car l'homme creusera et la retrouvera".
     
    Alors les dieux répliquèrent:
    "Jetons la divinité dans le plus profond des océans".
     
    Mais Brahma répondit à nouveau:
    " Non, car tôt ou tard, l'homme explorera les profondeurs de tous les océans et il est certain qu'un jour il la trouvera et la remontera à la surface".
     
    Alors les dieux mineurs conclurent:
    " Nous ne savons pas où la cacher car il ne semble pas exister sur terre ou dans la mer d'endroit que l'homme ne puisse atteindre un jour".
     
    Alors Brahma dit:
    " Voici ce que nous ferons de la divinité de l'homme: nous la cacherons au plus profond de lui-même, car c'est le seul endroit où il ne pensera jamais à chercher".
     
    Depuis ce temps-là, conclut la légende, l'homme a fait le tour de la terre, il a exploré, escaladé, plongé et creusé, à la recherche de quelque chose... qui se trouve en lui...

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    L'arbre de l'humanité - Conte malgache !

    "L'arbre trônait dans la plaine aride, non loin du village, depuis des temps immémoriaux. Les grands-pères et les grands-pères des grands-pères l'avaient toujours vu. On disait qu'il était aussi vieux que la Terre. On le savait magique. Des femmes trompées venaient le supplier de les venger, des hommes jaloux, en secret, cherchaient auprès de lui un remède à leur mal. Mais personne ne goûtait jamais à ses fruits magnifiques.

    Pourquoi? Parce que la moitié d'entre eux était empoisonnée. Mais on ne savait laquelle : le tronc massif se séparait en deux grosses branches dont l'une portait la vie, l'autre la mort. On regardait mais on ne touchait pas.

    Une année, un été chaud assécha la terre, un automne sec la craquela, un hiver glacial gela les graines déjà rabougries. La famine envahit bientôt le village. Miracle : seul sur la plaine, l'arbre demeura imperturbable. Aucun de ses fruits n'avait péri.

    Les villageois affamés se dirent qu'il leur fallait choisir entre le risque de tomber foudroyés, s'ils goûtaient aux merveilles dorées, et la certitude de mourir de faim s'ils n'y goûtaient pas.

    Un homme dont le fils ne vivait plus qu'à peine osa soudain s'avancer. Sous la branche de droite il fit halte, cueillit un fruit, ferma les yeux, le croqua et... survécut. Alors tous les villageois l'imitèrent et se ruèrent sur les fruits sains de la branche droite.

    Repus, ils considérèrent la branche gauche. Avec dégoût d'abord, puis haine. Ils regrettèrent la peur qu'ils avaient eue et décidèrent de se venger en la coupant au ras du tronc.

    En 2 jours, l'arbre amputé de sa moitié empoisonnée noircit, se racornit et mourut sur pied, ainsi que ses fruits."

    Auteur inconnu

    purple divider !

    Que représente cet arbre, sinon le symbole de nous-mêmes ? À la fois bons et méchants, généreux et avides, emportés et sages, en quête de vérité et en proie à l'erreur, nous traversons pourtant la vie sur nos deux jambes.

    Et tant que nous restons entiers, le positif se mêle en nous au négatif. C'est une preuve de bonne santé !

    Y avez-vous déjà pensé ? si nous étions naturellement bons, nous n'aurions aucun mérite à le devenir...

    La première étape vers le bonheur est de nous accepter tel que nous sommes, la seconde de changer ce que nous souhaitons changer en nous !

    Christian Godefroy

    http://www.naute.com/fables/arbredelhumanite.php


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  • Au début du monde, le Créateur, que les Indiens Abénakis appellent Tabaldak créa la terre et pour eux, la terre devint le jardin de Tabaldak. Depuis ce jour, la vieille terre-mère donne les plantes qui nourrissent et les plantes qui soignent. Tabaldak avait créé tout ce dont les hommes avaient besoin pour vivre sur terre. Il avait tout créé ou presque, car pour les Indiens le Créateur n'est pas parfait, sinon il aurait créé tous les Indiens parfaits.

    Tous les Indiens étaient en extase devant la création jusqu'au moment où Ours blanc décida de mettre son gros manteau blanc sur le pays et souffla son haleine froide pour faire arriver l'hiver.

    À cette époque, les Indiens vivaient la majeure partie de leur temps dans le tee pee et les petits papooses sont vite devenus bien tristes. Ils n'avaient plus rien pour s'amuser, sauf les cendres du feu qui paraissaient à peine tièdes tellement le froid était intense. Durant l'été, ils avaient joué avec les feuilles de l'arbre sacré. Ils en avaient fait des colliers, des panaches, des papillons et ils avaient aussi joué avec le ruisseau. Mais avec la neige qui avait tout recouvert de blanc, tous leurs jouets avaient disparu et ils étaient devenus bien tristes. Tellement tristes que grand-maman Marmotte le remarqua et décida d'aller voir Tabaldak. Elle lui dit :

    "Tu as créé de bien belles choses pour tes enfants adultes. Tu as tout donné pour qu'ils puissent bien vivre. Mais tu as oublié mes petits papooses".

    Tabaldak réfléchit un instant et approuva grand-maman Marmotte. Il promit d'arranger les choses. Aussitôt que le printemps se pointa le nez, il se mit à réfléchir à ce qu'il pourrait bien créer pour leur rendre l'hiver plus agréable. C'est alors qu'il se rappela avoir vu les enfants jouer avec les feuilles de l'arbre sacré. Il décida donc de créer les oiseaux. Mais dans sa hâte de faire plaisir aux enfants pour l'hiver prochain, il créa les oiseaux tous blancs, de la même couleur que l'hiver.

    Les enfants furent très heureux de cette création. Vous auriez dû les voir jouer avec les huards, les canards, les sarcelles, les perdrix, les pic-bois, les hirondelles, les parulines, les gros-becs, les roselins, les bruants, les chardonnerets, les mésanges, les merles, les moineaux et les colibris. Les papooses ont passé le printemps, l'été et même l'automne à s'amuser avec leurs nouveaux amis les oiseaux.

    Lorsqu'Ours blanc jeta de nouveau son gros manteau blanc sur le dos de la terre-mère, les enfants se rendirent compte que les oiseaux étaient de la même couleur que la neige et qu'ils pouvaient à peine les voir. Même les oiseaux étaient bien embêtés pour se reconnaître entre eux. Ils étaient tous de la même couleur. Ils retournèrent dans leur tee pee avec encore beaucoup de tristesse.

    Grand-maman Marmotte vit la tristesse des enfants. Elle retourna voir Tabaldak et lui dit :

    "Tabaldak, je crois que tu as créé les oiseaux un peu trop vite. Tu as donné aux adultes une nature toute colorée à ton image, mais tu as oublié que les petits enfants méritaient aussi ces mêmes couleurs pour leurs oiseaux".

    Tabaldak réfléchit et finit par dire à grand-maman Marmotte :

    "Tu as bien raison. Je vais réparer mon erreur. Appelle tous les oiseaux et dis-leur de se rassembler ici devant moi".

    Pendant ce temps, Tabaldak alla prendre du brun terre, du vert pelouse, du vert arbuste, du bleu ciel, du jaune soleil, du rouge feu, du gris nuage et fabriqua de merveilleuses teintures qu'il mit dans de magnifiques pots en écorce de bouleau que grand-maman Marmotte avait fabriqués pour lui. Les pots sentaient bon l'écorce fraîche.

    Tabaldak plaça les pots de teinture devant lui. L'oie blanche s'avança la première près de Tabaldak et lui donna une plume afin qu'il puisse colorer les oiseaux. L'oie blanche lui dit :

    "Prends ma plume pour faire ton travail de création. Moi je resterai blanche afin que tes enfants s'en rappellent. Chaque année, je passerai au-dessus de leur territoire pour qu'ils se souviennent de toi.

    Jusqu'à ce jour, l'oie blanche n'a pas encore manqué à sa parole. Chaque printemps, de la fin mars jusqu’à la fin mai, près d'un million d'oiseaux fréquentent les berges du lac Saint-Pierre à Baie-du-Fèbvre. Des milliers d'ornithologues amateurs et les amants de la nature se donnent rendez-vous le long des zones inondées pour observer le retour spectaculaire des oies blanches.

    Le Créateur commença donc son travail. Avec le rouge et le brun, il colora le merle. Avec le bleu, il donna ses couleurs à l'hirondelle. Avec le jaune, il colora le chardonneret et ainsi de suite, jusqu'à ce que tous les oiseaux soient recouverts des couleurs de la nature. Vous pourriez même, si vous prenez le temps d'observer les oiseaux, deviner où Tabaldak a pris la teinture pour colorer chaque oiseau que vous observez. Il n'y a pas de couleur sur un oiseau qui n'est pas dans la nature.

    Pendant qu'il faisait son travail avec patience, un oiseau le dérangeait constamment. Il criait, battait de l'aile bruyamment, bousculait les autres et oubliait de partager la joie de ses frères. Il alla même devant le Créateur pour l'insulter en lui disant que ses teintures étaient bien belles, mais pas assez brillantes pour les mettre sur son magnifique plumage. Patiemment le créateur continua son travail. L'oiseau était de plus en plus dérangeant, battant de l'aile et criant constamment.

    Il revint devant le Créateur encore une fois et d'un coup d'aile renversa tous les pots de teinture. Les teintures en se renversant se mélangèrent et devinrent toutes noires. Vous auriez dû voir grand-maman Marmotte derrière le tee pee. Elle était dans tous ses états, n'en croyant pas ses yeux de voir ce que l'oiseau avait fait.

    Le Créateur, dans sa grande patience, ramassa la teinture noire et la remit dans un nouveau pot que grand-maman Marmotte avait apporté. Il reprit sa plume et continua son travail. L'oiseau dérangeant revint une troisième fois devant lui pour l'insulter à nouveau, mais cette fois-ci, Tabaldak saisit l'animal par les pattes, le plongea dans la teinture noire et le leva très haut au bout de son bras en lui disant :

    "Telle est ta volonté mon bel oiseau et telle est ma volonté. Parce que tu l'as bien voulu, tu seras toujours un oiseau dérangeant et bruyant. Tu auras toujours un vol lourd et bruyant. Les autres oiseaux te craindront et les animaux te fuiront. On t'appellera le Corbeau".

    Et il laissa partir l'oiseau. Mais ce n'était pas le dernier oiseau. Le dernier oiseau arriva humblement devant Tabaldak. Il excusa le comportement effronté du corbeau et dit au Créateur :

    "Tabaldak, je regrette le geste du corbeau. J'aurais voulu que tu couvres mes plumes de l'arc-en-ciel de ta création. J'aurais pu, ainsi coloré, voler très haut vers le soleil et tracer de grands cercles pour que tes enfants puissent y voir toute ta puissance. J'aurais voulu être ton symbole pour tes enfants".

    Le Créateur fut bien ému par les paroles de l'oiseau. Il dit à l'animal :

    "Ouvre bien grandes tes ailes".

    Il prit alors sa plume et la plongea dans la teinture noire. Il en mit un peu sur le bout des ailes, un peu autour du cou. Il en mit aussi un peu sur la queue et balaya tendrement le dos de l'animal en lui disant :

    "Telle est ta volonté mon bel oiseau et telle est ma volonté. Tu seras mon symbole. Tu voleras très haut pour tracer le cercle sacré. J'y mettrai toute ma puissance et mes enfants le verront. Tu seras le seul animal à regarder le soleil bien en face. On t'appellera l'AIGLE. Et pour s'en rappeler, chaque fois qu'un de mes enfants plantera un poteau dans le sol pour y graver ses symboles et ses totems, tout en haut il placera tes ailes pour me symboliser. Tu seras un guide pour mes enfants. Telle est ta volonté mon bel oiseau et telle est ma volonté.

    Je veux que vous sachiez que depuis ce temps-là, les Amérindiens utilisent les plumes de l'aigle pour s'en faire de belles décorations et qu'il y a toujours une plume d'aigle attachée à la pipe sacrée.

    Cette légende est encore très vivante dans le village Abenakis d'Odanak au Québec.

    auteur inconnu

    http://www.funfou.com/fables/oiseaux.php


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