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PROPOSITION POUR UN CENTRE HISTORIQUE NATIONAL SPÉCIAL À CHAUDIÈRE CHUTES, OTTAWA, CANADA (Dr. William Commanda www.circleofallnations.ca 16/1/07)SUJET Une proposition pour le développement d'un centre historique national spécial chez le Chaudière sacré Chutes, Ottawa, CanadaQUESTION La vision réclame un parc entièrement inclus de ville, un emplacement interprétatif historique, un centre de conférence et un centre indigène à l'emplacement sacré des automnes d'Asinabka/Chaudière, Chaudière et îles de Victoria, dans le capital de la nation FOND Depuis l'arrivée de Samuel de Champlain dans ce secteur en 1613, le secteur autour des automnes de Chaudière a été reconnu comme endroit de réunion sacré de grande importance pour le peuple autochtone, ayant été employé en tant que tels pendant facilement cinq mille années. En effet, il est l'un des emplacements les plus tôt du métier humain dans ce pays. Plus tard, il a servi d'endroit de réunion significatif avec les premiers colons, le français et l'anglais. Aujourd'hui le monde trouve une maison sur ses rivages. Ce secteur spécial juge le singulier valeur sacrée, archéologique et historique, et a été l'emplacement de la convergence culturelle, de l'évolution politique, et de l'excédent internationalement influent de développement industriel et d'innovation les siècles passés. L'histoire de désignation d'héritage de fleuve d'Ottawa célèbrecet héritage remarquable de la ligne de partage, et le coeur de l'histoire se situe ici à Ottawa/à coque, à l'endroit de réunion de trois fleuves, avec Ottawa puissant, du fleuve d'héritage des algonquins, se reliant au Gatineau de la province du Québec et au Rideau de la province d'Ontario. William plus ancien Commanda, un algonquin trilingue de 93 ans du Québec, récemment honoré par l'université d'Ottawa de la présentation d'un degré honorifique de doctorat, et en juin 2006, présenté de la clef à la ville d'Ottawa, un homme remarquable et internationalement identifié d'un intérêt passionné pour l'environnement, ce pays et tous ses citoyens, et fondateur du cercle de toutes les nations, tient une large vision pour le secteur entier concentré sur deux thèmes qui prédominent dans son travail : Respect pour la Terre et l'harmonie raciale et le Paix-bâtiment.Aujourd'hui, la crise et la guerre environnementales sont nos plus grands préoccupations et défis nationaux.L'ACTIVITÉ Appels de 4 fois audacieux de vision de Dr. Commanda's pour1) Libérant les automnes de Chaudière,2) Créer un parc de ville et un centre interprétatif historique3) Construction d'un emplacement de réunion de bâtiment de paix,et 4) Établir un centre indigèneDÉTAILS 1. C'est une vision d'influence internationale potentiellement significative pour la réconciliation symbolique avec la nature, l'eau et terre, par undamming les automnes sacrés de Chaudière jusqu'au degré possible, et le renvoyant à son ancienne magnificence ; la plantation de l'île de Chaudière avec des arbres et créer un parc éducatif d'eco-ville au coeur du pays, expressif de tous les deux son histoire, et son futur, offrant un jour moderne ont repris les au sol verts de défaut de la reproduction sonore de sanctuaire et de prisonnier de guerre pour excentrer la position abandonnée urbaine concrète ; elle réclame également développer un centre interprétatif historique à commémorer l'histoire du règlement - pré et signaler le contact : cérémonie, itinéraires antiques du commerce, échange des marchandises, notation, puissance hydro-électrique, développement industriel, inventions etc.2. Conformé à l'histoire antique comme endroit de réunion, et au besoin courant d'espaces créateurs de réunion conçus pour servir de de collaboration penser les réservoirs pour la contemplation réfléchissante sur les questions globales et locales pendant cette décennie de l'ONU pour la culture de la paix, pour l'échange et la formation croix-culturels internationaux, la partie restante des appels de vision pour un hôtel de conférence de cosse-modèle de village de Tipi sur la partie occidentale de l'île de Victoria, entièrement accessible dans le secteur de noyau de la ville capitale.3. En conclusion, pendant presque quatre décennies, la partie orientale de l'île de Victoria a été indiquée l'emplacement pour un centre indigène ; au cours des huit dernières années, Commanda plus ancien a fonctionné à développer une vision pour le centre ; Cardinal indigène de Douglas d'architecte, avec l'appui de Héritage canadien, développé les plans architecturaux conceptuels au niveau B ; Commanda plus ancien était en pourparlers un mémorandum d'ébauche dans le Cabinet avec un conseiller pour la Commission de capital national, et au cercle de tout le rassemblement international de nations de l'août 2006, l'appui total exprimé par NCC pour cette proposition.4. L'emplacement entier sera une grande attraction pour les peuples indigènes, les citoyens des villes d'Ottawa et de Gatineau, le pays dans son ensemble, des enfants, de nouveaux Canadiens et des touristes internationaux.5. Cependant endommagé au cours des années, l'emplacement sacré de Chaudière des peuples d'algonquin reste un beau trésor normal et national attendant pour être reconnu et honoré.6. La vision de Commanda plus ancien donne également une occasion unique de corriger des erreurs de l'histoire et de regarder vers le futur.7. On l'identifie que ce travail enjambe beaucoup de départements fédéraux, juridictions et centres de responsabilité. Elle a besoin d'une volonté et d'une conduite collectives et de collaboration de national pour créer l'incitation à sa réalisation réussie.CALENDRIER La synchronisation est propice pour l'accord d'un legs national et en effet international durable commémoratif de la décennie de l'ONU pour une culture de paix, en prévision de deux dates principales : 2010, quand le monde vient au Canada pour les Jeux Olympiques, et 4 juin 2013, les quatre centièmes années anniversaire de l'arrivée de Champlain dans ce secteur (juin étant également le jour de fleuves d'héritage de temps est célébré). Une annonce 2007 du printemps assurera l'actualisation opportune de la vision.ACTION DEMANDÉE Approbation répandue de cette proposition entièrement incluse par l'établissement d'a multigroupe de travail disciplinaire pour développer le plan d'exécution pour l'emplacement sacré.désoler pour la traduction , j'ai fait de mon mieu vu que j'ai un anglais très médiocre .Mais je trouve que c'est une tres bonne innitiative qui faut regarder avec grande importance et le faire savoir. si vous savez bien lire l'anglais ,je vous donne le lien :http://www.circleofallnations.com/ Proposal for a Special National Historic Centre at Chaudiere Falls, Ottawa, Canada (Dr. William Commanda www.circleofallnations.ca 16/01/07) (Send your Message of support to pm@pm.gc.ca and copy info@circleofallnations.ca! Megwetch!)(PDF et si quelqu'un peu me l'envoyer par mail bien traduit , je serai très honoré de le mettre sur mon blog! merci d'avance!tipied (fred)
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7 AU 10 MARS 2007, 20 H
DANSE CONTEMPORAINE
AMÉRINDIENNE
MANITOWAPAN ET
MON PÈRE M'A RACONTÉ
CHORÉGRAPHE_GAÉTAN GINGRASMANITOWAPAN
INTERPRÉTE_SOPHIE LAVIGNE
CONTEUR_ROBERT SEVEN CROWS BOURDON
MASQUES ET COSTUMES_ANNIE GÉLINASMON PÈRE M'A RACONTÉ
INTERPRÈTES_MARIE-ÈVE DEMERS, JESSICA SERLI, PATRICIA IRAOLA
CONTEUR_ROBERT SEVEN CROWS BOURDON
ENFANT_FRÉDÉRIC GINGRAS
MASQUES_CATHERINE CUGGY
COSTUMES_ANNIE GÉLINASMUSIQUE_FRANÇOIS BEAUSOLEIL ÉCLAIRAGES_MIKE INWOOD
SCÉNOGRAPHIE_JEAN-FRANÇOIS ALLIE TEXTE_JOHANNE PARENT
Manitowapan, que Gaétan Gingras a présenté en 2005 à Montréal, et Mon père ma raconté, une nouvelle création, sont deux pièces intimement liées en ce que lune et lautre réhabilitent la tradition orale et lhéritage culturel des Premières Nations. Rappelant que ses ancêtres ont été jetés en prison et même mis à mort pour avoir simplement voulu transmettre à leurs enfants les pas des danses hiératiques ou sociales de leur peuple, le chorégraphe souligne quil sagissait là, bien souvent, de véritables rites initiatiques, capables de rétablir des ponts entre le visible et linvisible. « La plupart des apprentissages de la loi, de la beauté et de la sagesse du monde des Esprits se transmettaient de génération en génération par le conte, par la danse. Ultimement, ces rituels avaient le pouvoir de guérir puisquils permettaient de reconnaître la présence de lesprit en toute réalité matérielle et par là, de rétablir lunité de lêtre. Cest dans lurgence dintégrer la spiritualité au quotidien de la vie moderne que se définit mon oeuvre. » Son complice conteur, Robert Seven Crows Bourdon ajoute : « Il est primordial de conserver les enseignements sacrés, ils sont la source dune authentique liberté ».
Gaétan Gingras se défend de vouloir trop intellectualiser sa démarche. Il cherche plutôt à créer une oeuvre forte, profondément visuelle. Il nhésite pas à utiliser des masques qui reprennent, sous linterprétation dAnnie Gélinas, les grandes figures totémiques de lart aborigène, toutes nations confondues. Il invente une danse où les Blancs croient reconnaître les célébrations des maisons longues alors que les Autochtones y voient une interprétation résolument contemporaine de leur art.
Manitowapan, ce sont les vents, les esprits qui soufflent de lest, de là où le Soleil se lève. Sur une musique inspirante de François Beausoleil (qui a collaboré à Saltimbanco, un spectacle du Cirque du Soleil), sur des paroles de Johanne Parent, de la communauté mesquakie, Sophie Lavigne, danseuse dorigine algonquine donne vie à ce véritable retour aux sources.
Mon père ma raconté remonte la lignée de la famille élargie pour recueillir un héritage commun : les paroles des ancêtres, ce quils ont vécu, les images, inscrites dans la mémoire collective, de ce quils ont longuement observé, dans le silence. Interrogations sur une vérité tue, cachée, clandestine et pourtant fondamentale à la définition dune identité. Interrogations sur la rupture qui menace toute culture minoritaire. Comment transmettre aux siens ce que lon sait, comment retrouver une continuité menacée par le non-dit, une individuation frappée dinterdit?
Pour mieux connaître les artisans de ce spectacle, le Studio de lAgora vous offre une Rencontre du jeudi, 8 mars, immédiatement après la représentation.
LE PRIX DES BILLETS EST DE 26 $ (18 $ POUR LES ÉTUDIANTS, LES AÎNÉS ET LES PROFESSIONNELS DE LA DANSE). RENSEIGNEMENTS ET RÉSERVATIONS : BILLETTERIE DU STUDIO DE LAGORA DE LA DANSE 840, RUE CHERRIER, MÉTRO SHERBROOKE 514 525.1500, RÉSEAU ADMISSION 514 790.1245.
AGORA DE LA DANSE
840, RUE CHERRIER, MÉTRO SHERBROOKE
WWW.AGORADANSE.COM
SOURCE > Louise Duchesne (directrice des communications)
514 525.7575 poste 233
Télécopie > 514 525.6632
louise@agoradanse.com
article prit sur : http://www.autochtones.ca/portal/fr/ArticleView.php?article_id=399
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Les Algonquins de Trois-Rivières
Loral au secours de lécrit, 1600-2005
Claude Hubert et Rémi SavardLes membres de la famille de Claude Hubert ont toujours su qu'ils étaient d'origine algonquine. À la fin des années 1980, ils tentèrent de faire reconnaître leur identité par l'administration des Affaires indiennes. En vain. Commencèrent alors des années de recherches patientes, et souvent décourageantes, dans les archives officielles. En 1999, Claude Hubert se faisait confier, par plus de cent cinquante personnes, le mandat d'explorer les avenues pouvant conduire à la reconnaissance de leurs droits ancestraux. En 2001, Rémi Savard joignait ses compétences aux siennes et ce, jusqu'à ce qu'ils en viennent à la rédaction de ce livre.
Cette recherche nous apporte les preuves que les Algonquins de l'actuelle région de Trois-Rivières sont les descendants de ceux que les Français rencontraient, au XVIIe siècle, à l'embouchure du Saint-Maurice, leur lieu de rassemblement annuel. Elle révèle la persistance, malgré les politiques d'assimilation et de marginalisation, d'une communauté forte de sa culture et de sa mémoire. En conjuguant sources écrites et sources orales, les auteurs parviennent à soulever le voile tiré, souvent volontairement, sur l'histoire de ces Algonquins et, du même coup, sur celle du Québec.
Ce livre « traite, pour la première fois dautochtones qui ne sont pas reconnus comme étant des Indiens au sens de la loi, malgré toutes leurs tentatives, et qui nhabitent pas dans une réserve. Or, il existe une croyance au Québec à leffet que les autochtones ne vivent que dans les réserves et quil ny a pas de métis. Ces deux phénomènes seraient réservés à lOuest. Il nous apparaissait vital de rendre les faits publics, non seulement pour les Algonquins, mais pour lhistoire du Québec ». (Sylvie Vincent citée par Madame Estelle Zehler dans Le Devoir, 3 et 4 juin 2006 : G5) Lire l'article au complet
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Coupe à blanc
Les autochtones voient rouge
Logo de la Confédération des peuples autochtones du Québec
Le torchon brûle entre la communauté autochtone de Fort-Coulonge dans le Pontiac et le gouvernement du Québec.
Les autochtones ont érigé des tipis devant les bureaux du ministère des Ressources naturelles pour protester contre la coupe à blanc dans la région.
Ils accusent Québec de sanctionner cette coupe à blanc.
Les autochtones dont un certain nombre de warriors sont intervenus pour bloquer des bûcherons qui avaient commencé les coupes qu'ils jugent illégales.
Les autochtones de Fort-Coulonge ont l'appui de la Confédération des Peuples autochtones du Québec, (CPAQ) de plusieurs Warriors et du président d'un groupe autochtone de gestion des ressources naturelles.
Les autochtones réclament une entente avec le fédéral et Québec sur l'arrêt de ces coupes abusives.
Ils menacent de transporter leur manifestation à Gatineau, devant le ministère des affaires indiennes, si aucune entente n'intervient rapidement.
Manifestation d'autochtones à Gatineau
Quelques 300 membres de la CPAQ avaient manifesté pendant trois jours au centre-ville de Gatineau en juillet dernier.
Ils réclamaient la reconnaissance des droits des autochtones hors réserve. La CPAQ est un groupe autochtone dont plusieurs membres ont quitté l'Alliance des autochtones du Québec (AAQ ).
La CPAQ dit représenter 15 000 personnes et demande le même statut que l'AAQ.
news radiocanada Ottawa -Gatineau du vendredi 16 fevrier 2007
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Dendroctone du pin
Les forêts dévastées plus vite que prévu
Dendroctone du pin
Les forêts de la Colombie-Britannique sont dévastées plus rapidement que prévu par le dendroctone du pin. Les arbres contaminés se détériorent en deux ans et deviennent inutilisables pour la construction.
La situation risque d'avoir de sérieuses répercussions pour l'industrie forestière. Les experts et les compagnies forestières constatent que le dendroctone du pin fait plus de dégâts aux arbres que ce qu'ils avaient estimé. Auparavant, ils calculaient que le bois infecté pouvait être utilisé pour la construction au moins 15 ans après avoir été attaqué par un champignon transporté par l'insecte. Ils savent maintenant que le bois ne peut être utilisé qu'après un an ou deux.
« Le bois peut avoir séché très rapidement et donc il est difficile à travailler. C'est un problème lié essentiellement au champignon du bleuissement », explique Colette Breuil, professeure au département de foresterie à l'Université de la Colombie-Britannique. La professeure Breuil précise que le bois attaqué par le dendroctone devient très sec, craque et ne peut plus être utilisé par l'industrie forestière.
« La solution est de couper tous les arbres et de stocker les arbres sous l'eau. Vous réduisez votre détérioration, mais ce n'est pas très pratique », soutient Mme Breuil.
En attendant de trouver d'autres solutions, le dendroctone du pin continue de faire des ravages. Le ministère des Forêts s'attend à ce que 80 % des forêts de pin de la Colombie-Britannique soient dévastées d'ici six ans.
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