• je suis blanc , rouge , jaune , noir .  je suis né de la terre , de l'eau et de l'air !   je suis né de la terre et je fais parti d'elle!   nous sommes de minuscule poussière de la terre , qui avec le temps avons prit le droit sur toute la terre .  nous avons rendu malade notre mère terre . avec nos guerres , nos pollutions , notre confort .... nous sommes devenu des égoiste !pourtant mère terre nous donnait tout pour bien vivre!  maintenant faut la soigner et l'aimer encore plus . et pensé a nos enfants!  apprenons a l'aimer , en la respectant avec amour . en lui montrant aussi que nous l'aimons  et la respectons !   terre mère merci pour tout ce que tu nous donnes et pardonne nous !  l'appel de la nature est venu dans mon coeur . ce message est d'elle , elle vous appel tous ! oublions nos différence , nos peine , nos colère pour un monde meilleur et surtout pour nos enfants ! changeons nos coeur !  nous sommes tous des enfants de la terre , ne l'oublions pas !.....

    tipied


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    Le mardi 20 mars 2007
     C'est l'astronaute Buzz Aldrin qui a inauguré le «Skywalk». (Photo AFP)

    C'est l'astronaute Buzz Aldrin qui a inauguré le «Skywalk».
    Photo AFP
     
    Une passerelle vertigineuse inaugurée au Grand Canyon
    Agence France-Presse
    Hulapalai
    Une passerelle de verre surplombant le Grand Canyon a été inaugurée mardi par des Indiens en Arizona voulant attirer les touristes, un édifice vertigineux qui a aussi été critiqué par des écologistes et certains membres de la tribu.
      (Photo AFP) 
    Photo AFP
      
    C'est l'astronaute Buzz Aldrin qui a inauguré le «Skywalk» (la promenade dans le ciel), une prouesse architecturale dont les parois et le fond sont transparents, a constaté un journaliste de l'AFP. Elle avance de plus de 22 mètres dans le canyon et se trouve à près de 1,3 km au-dessus du vide.
    «Je me suis senti très bien», a lancé Aldrin, 77 ans, le deuxième homme à avoir marché sur la Lune après Neil Armstrong en 1969, peu après avoir arpenté le «Skywalk» avec des membres de la tribu Hualapai. «Ce n'était pas vraiment comme flotter dans l'air ou marcher dans l'espace, mais ça a été formidable», a-t-il dit aux journalistes.
    Les architectes du projet, véritable défi à la gravité, affirment que la structure est capable de supporter le poids de plusieurs centaines de personnes en même temps et ne sera pas affectée par les vents parfois violents qui soufflent dans le Grand Canyon, au fond duquel coule le fleuve Colorado.
     
     
     

    Pesant quelque 500 tonnes, la passerelle est construite en verre feuilleté renforcé et soutenue par des attaches en acier colossales, enfoncées à plus de 14 mètres dans le roc. Des amortisseurs géants empêchent la structure de vibrer sous le poids des visiteurs, selon les architectes.
    Grâce à cette passerelle, située à 192 km de la capitale du jeu Las Vegas (Nevada), la principale destination de vacances des Américains, les Hualapai espèrent attirer les touristes pour sortir de la pauvreté, mais certains membres de la tribu critiquent une réalisation qui «désacralise» la terre de leurs ancêtres.
    «Je dirais que la plupart des Hualapai y sont opposés», a souligné Don Havatone, un guide touristique de 46 ans. «C'est difficile à accepter. Il s'agit d'une terre sacrée pour nous et nous la dérangeons. Mais d'un autre côté, je pense que les gens finiront par l'accepter s'ils voient que nos enfants peuvent bénéficier du tourisme».
    «Notre peuple souffre de la pauvreté et du chômage depuis des années. Je ne crois que l'on puisse nous critiquer pour vouloir que cela change», a indiqué Sheri Yellowhawk, qui a participé au projet réalisé par un homme d'affaires de Las Vegas, David Jin, qui a investi 30 millions de dollars. En vertu d'un accord avec la tribu Hualapai, celle-ci lui reversera pendant 25 ans la moitié des recettes. Le ticket d'entrée sur la passerelle a été fixé à 25 dollars.
    Charlie Vaughn, dirigeant du conseil tribal des Hualapai, a souligné pour sa part que le projet n'avait pas soulevé de protestations des membres de la tribu lorsqu'il a été annoncé. «J'ai considéré que ce silence était un accord. Je comprends que les gens soient mécontents de l'impact sur l'environnement, mais lorsque je compare cela à l'avenir de nos enfants, cela met ces problèmes en perspective».
    Les écologistes ont également fustigé la construction de la passerelle qui, selon eux, dénature l'un des plus beaux paysages naturels au monde, comme Kieran Suckling, du «Centre pour la biodiversité».
    «La Tour Eiffel est une merveille architecturale», a-t-il déclaré à CNN. «Mais est-ce que je veux une Tour Eiffel au bord du Grand Canyon? Non».
    La passerelle sera accessible au grand public à compter du 28 mars.
    http://www.cyberpresse.ca/article/20070320/CPMONDE/70320207/1014/CPMONDE

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    Benediction Chamanique
    En tenur de céremonie, lIndien Hualapai Don Havatone accompli les gestes de benediction traditionnels à l'occasion de l'inauguration du "Grand Canyon Skywalk", une passerelle de verre qui s'elance à une vingtaine de metres au dessus de la paroi du Grand Canyon, en Arizona (Etats Unis) Ce nouveau complexe touristique, bâti sur le site de la reserve indienne des Hualapai, permet aux visiteurs d'avoir une vue plongeante incomparable sur la riviére Colorado , 1 219 m plus bas.
     
     
     
     
     

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  • Quelques réflexions pertinentes de l'écologue Nicolas Hulot et de l'écrivain Edgar Morin tirées de son livre " L'an 1 de l'ère écologique" :

    Edgar Morin

    Nous avons un problème de vie en société. Regardez le nombre de psychotropes et d’anxiolytiques que nous absorbons. Les Français traitent de manière individuelle et personnelle un mal-être existentiel qui est aussi un malaise commun. D’où le recours de plus en plus grand aux sagesses orientales, au yoga, au bouddhisme zen, et au grand marché de la réalisation de soi. D’où la recherche de spiritualité, l’appel à la psychanalyse et au-delà à la philosophie. Nous nous ruons sur les vacances, le départ, l’exotisme, et, dans le loisir, nous nous déguisons en faux primitifs, en faux paysans. Nous aspirons obscurément à fuir la vie du métro-boulot-dodo qui obéit à la logique déterministe, chronométrique, hyperspécialisée de la machine artificielle de nos usines et bureaux. Experts et « éconocrates » nous traitent comme des machines triviales c’est-à-dire strictement déterministes, alors que la part non triviale en nous, celle du vouloir vivre, aimer, communier, nous réaliser, échappe à cette logique.

    Le pacte écologique n’a de sens qu’à condition de sortir de cette logique et d’être complété par un pacte politique. Pour ne pas aller dans le mur, comme vous dites, nous avons besoin d’une politique que j’ai appelée « politique de l’homme » et que je complète par une politique de civilisation.  

    Nicolas Hulot

    La technique seule ne résoudra pas les problèmes auxquels nous sommes confrontés. Il faut que chacun les prenne à coeur, au sens émotionnel et passionnel du terme, car chacun porte une part de responsabilité. Dans cette « Adresse au futur président de la République » qui ouvre le livre, je demande qu’on se débarrasse d’un certain nombre de pratiques, de moeurs, d’automatismes, de comportements iniques et obsolètes. Dans cette société du théâtre des apparences, le paraître prime sur l’être. Chacun le sait, mais tout le monde y cède. La débauche de communication masque l’ignorance, l’incompétence ou le manque de pouvoir. On donne l’illusion de traiter les choses. Mais la désillusion est totale, et le discrédit des politiques s’accroît.

    Or l’impératif écologique est aussi un impératif politique, car nous sommes encore englués dans la barbarie des origines. Comme nous l’a appris notamment l’ouragan Katrina, qui ravagea La Nouvelle-Orléans , notre démocratie des bonnes manières peut basculer à tout moment dans la barbarie, le vernis démocratique est prêt à craquer à la moindre catastrophe écologique. Je ne dis pas cela pour faire peur. Mais notre civilité n’est pas définitive. Il n’est pas dit que notre civilisation sera capable d’affronter les bouleversements écologiques dans la cohérence, la sagesse, la pertinence et la rationalité.

    Il est stupide de penser que nos frontières pourront stopper la mise en marche des damnés de la terre vers le Nord, fuyant les désordres écologiques et climatiques qu’ils subiront au Sud sans les avoir provoqués. Aucune armée du monde placée à Gibraltar ou au sud de l’Italie n’endiguera une vague migratoire dont les fondements seront légitimes. Au-delà de l’injonction climatique – dont on se serait bien passé, tant l’humanité est chargée de fardeaux –, regardons à quoi ressemble l’état psychologique de la planète sous l’effet pervers de la communication qui étale au grand jour une réalité insoutenable et indécente.

    D’un côté, les exclus du festin, pour lesquels la vie est une longue souffrance ; de l’autre, ceux qui ont tiré leur épingle du jeu et parmi eux cette frange de la population qui se vautre dans l’opulence. Avec la mondialisation médiatique, cette obscénité suscite d’innombrables rancoeurs mais aussi, pour peu d’être bien instrumentalisée, des torrents de haine. À l’apogée de la communication, la découverte de l’humanité par elle-même est devenue maléfique.  

    http://groups.msn.com/LaTribuCalumet/general.msnw?action=get_message&mview=1&ID_Message=9067


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  • Retour de la marche contre le racisme
    Par Stéphane Laroche

    À l’heure où la question du racisme est plus que jamais au coeur des discussions chez les Québécois, le Centre d’amitié autochtone de Val-d’Or organise une marche dans les rues de la ville, le 21 mars, afin de favoriser les rapprochements entre les Blancs et les Premières Nations.

    Plus de 800 personnes de tous âges sont attendues à la Marche Gabriel-Commanda, le 21 mars prochain. Le rassemblement est prévu à 13h, au Centre d’amitié autochtone de Val-d’Or. Les participants seront invités à signer une Déclaration d’amitié entre les peuples. (Photo d’archives) Plus de 800 personnes de tous âges, Autochtones et non-Autochtones, sont attendues à la 6e Marche Gabriel-Commanda, organisée dans le cadre de la Journée internationale pour l’élimination de la discrimination raciale.

    «Cette marche se veut une célébration de la solidarité entre les peuples, soutient la directrice du Centre d’amitié autochtone, Édith Cloutier. Elle se déroulera dans un esprit positif, pacifique, festif.»

    Cette activité s’inscrit parfaitement dans les débats de société actuels, souligne Mme Cloutier, en faisant notamment référence aux accommodements raisonnables et au sondage-choc sur le racisme paru dans les médias nationaux en janvier dernier.

    Modifier les perceptions
    «Le Centre d’amitié autochtone de Val-d’Or milite depuis 35 ans en faveur des rapprochements interculturels, dit-elle. On se rend compte que notre sujet n’est pas désuet.»

    Le travail accompli quotidiennement au fil des ans afin de modifier les perceptions, de contrer le racisme et de promouvoir le dialogue entre Autochtones et non-Autochtones semble porter fruits, constate Mme Cloutier.

    Elle souligne, en guise d’exemple, l’accueil favorable des gens de Val-d’Or envers le projet du Pavillon des Premières Nations, de même que la grande popularité du Centre de la petite enfance Abinodjic-Miguam, où la culture algonquine occupe une grande place.

    Barricade
    Mais les préjugés et la discrimination sont encore bien présents dans la société. Et lorsque survient un événement aussi grave que la barricade érigée par des Autochtones dans la Réserve faunique La Vérendrye, la semaine dernière, il en résulte un impact sur l’ensemble des Premières Nations, déplore Mme Cloutier.

    «C’est très difficile. Et ça peut nous faire reculer. C’est une situation très complexe et confuse. Il y a nécessité de ne pas généraliser», dit-elle, en félicitant la population régionale pour avoir su faire preuve de discernement face à cette situation.

    Val-d’Or: une référence
    La Marche Gabriel-Commanda s’inscrit dans le cadre d’une campagne annuelle de sensibilisation à la discrimination raciale du Centre d’amitié autochtone de Val-d’Or. Elle est de retour après un an d’absence. L’année 2006 aura permis au Centre de constater à quel point cette activité s’intègre dans les habitudes des Valdoriens, soutient Édith Cloutier.

    Cette dernière affirme que, grâce à cette campagne, Val-d’Or est devenue une référence au plan national en matière de sensibilisation à la discrimination raciale.

    http://www.hebdosquebecor.com/cvo/03182007/cvo_03182007_A14.shtml


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