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    Qui sommes nous ?    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

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    L’ASSOCIATION L ‘APPEL DE LA NATURE ,  voulons informer et sensibiliser le public sur la réalité de la culture et  la philosophie amérindienne, qu’elle soit passée , présente  et future. Notre vision des choses est quelque peu différente de l’image  qu’ont certaines personnes de la civilisation Amérindienne <o:p></o:p>

    et nous voulons être le plus proche possible de la vérité, leur vérité, et non de celle affichée dans certains livres et films. <o:p></o:p>

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    Les autochtones d’Amérique du Nord  ont été  quasiment décimés par les colons blancs et parqués dans des réserves. Ils n’avaient aucune « reconnaissance » humaine ni citoyenne, et actuellement, les autochtones sont essentiellement métis. Dans notre société actuelle, le métissage n’est pas « aimé », malgré les discours de tolérance prodigués à droite et à gauche .Beaucoup de civilisations indigènes ont été décimées ou parquées par ‘l’homme blanc au cours des siècles ; Les Incas, les Aztèques, les indiens d’Amérique, les aborigènes d’Australie etc… Tout ces peuples dits « primitifs » gênaient  l’homme blanc dans sa soif de terre, de pouvoir et d’expansion. Des terres préservées et « gérées », se sont retrouvées stériles et détruites en moins d’un siècle par cet homme blanc sans scrupule et matérialiste .Bien sûr nous sommes blancs et ce sont nos ancêtres qui quelque part ont perpétué cet état de choses.  Mais ce n’est pas pour cela qu’il faut cautionner leurs actes .Actuellement des génocides ont encore lieu , et  même si la raison d’ un tel acte est différente de celles des pionniers du siècle dernier, il n’en demeure pas moins qu’elle n’est pas plus louable.

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    Nous voulons faire comprendre au travers de notre action d’information qu’il faut arrêter ce travail de destruction massive, que ce soit au niveau humain ou au niveau nature. Car , en sciant la branche sur laquelle nous sommes assis, nous tomberons tôt ou tard . C’est pour cela que nous souhaitons parler des civilisations amérindiennes, car la vision de beaucoup de personnes n est pas celles de nos jours.  En s’y intéressant de plus près, peut être arriverons nous à faire comprendre que leur façon de vivre ; en respectant l’environnement naturel  tout en y puisant leurs ressources ; leur façon d’aborder le monde qui les entoure, nous pourront éclaircir les esprits et permettre  une marche arrière du processus de destruction massive dans lequel nous sommes engagés malgré nous ( pollution de l’air, destruction des forêts, et notamment de l’Amazonie, sur exploitation des ressources naturelles, pollution de l’eau, destruction de la couche d’ozone…).<o:p></o:p>

     

    Ce que nous proposons :<o:p></o:p>

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    Nous proposons des conférences pour les enfants dans les écoles , les centres aérés , les centres jeunesses , des ateliers nature <o:p></o:p>

    Sur le thème :  Comment les premières nations voient et respectent la nature .<o:p></o:p>

    Pour l’association « l’appel de la nature » ,c’est une chose primordiale que de faire découvrir et redécouvrir la nature ,la respecter , l’écouter , la protéger.<o:p></o:p>

    Tout cela par des mots simples et adaptés à l’age de l’enfant. Car nous pensons que les nouvelles générations peuvent changer beaucoup de chose dans l’avenir si nous les enseignons dès maintenant.

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    Nous serons aussi présents également dans différentes manifestations dans le but d’expliquer qui nous sommes, nos projets et actions . Avec vente de gâteaux ,  vente de t-shirt avec le logo de l’association , de l’artisanat  et beaucoup d’autres choses .<o:p></o:p>

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    Tout cela dans un seul objectif , une collecte d’argent pour différentes actions  que nous voulons entreprendre dans l’année . <o:p></o:p>

     

    C’est a dire <o:p></o:p>

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    Faire venir,<o:p></o:p>

    - des autochtones pour des conférences pour expliquer leur vie de nos jours         (que beaucoup de personnes ne connaissent pas vraiment) , leur rapport avec la nature et sa protection , et d’autres sujets ….<o:p></o:p>

    - Des conteurs ,<o:p></o:p>

    - Des artistes , qu’ils soient peintres , chanteurs , drumeurs , danseurs …..<o:p></o:p>

    Faire correspondre des enfants entre eux ( école d’ici et du québec :réserve etc… ) , pour nouer un lien d’amitié entre eux et avec le temps un voyage dans chaque pays . En permettant aux jeunes des Premières Nations de devenir ambassadeurs de leur culture .<o:p></o:p>

    Mener des actions d’aides aux Première Nation et aux association  sur place , concernant divers projets qu’ils veulent entreprendre  et dont ils ont besoin . Que ce soit au Canada , USA ,Amérique du sud et ailleurs .<o:p></o:p>

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    Tout ceci dans le but  ,d’ une écoute ,d’un échange culturelle entre peuples . Mais aussi , toute une éducation par des actions simples . Rassurer par rapport à ce qu’on entend par les médias en utilisant des supports concrets ( intervention de véritables autochtones , films ….). <o:p></o:p>

    Nous souhaitons avancer positivement vers la guérison de la terre pour notre avenir et celui de nos enfants .<o:p></o:p>

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    UN PETIT PONT QUI , AVEC LE TEMPS , GRANDIRA SUREMENT PAR NOS ACTIONS !!!!!!!!!!!!!!!<o:p></o:p>

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    ps: voilà je vous informe que ce blog devient aussi une association et cela me tiens très à coeur  de faire cette action ! merci a vous tous car c est aussi grace a vos commentaire sur mon blog qui ma fait aller vers la création de cette asso .maintenant faut agir , pour ce qui sont intérrésser contacter moi : fredaster06@msn.com

    je tiens a vous dire aussi qu'un forrum , un site  va s'ouvrir ainsi qu'une boutique en ligne avec la vente de t-shirt et autre seront la pour pouvoir nous aider a démarrer ! donc a suivre.....

    amitier a vous tous

    tipied!


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  • Cette adaptation du poème épique de Henry Wadsworth, le chant de Hiawatha, célèbre la légende héroïque du chef de la tribu des Ojibway, qui racontent qu’il fut envoyé par le Grand Esprit pour conduire son peuple. “Tout le monde connaît Hiawatha, mais personne ne l’a jamais rencontré” dit le guide et interprète indien aux deux hommes blancs qui veulent rencontrer le héros légendaire. L’un, trappeur et marchand de fourrures, espère tirer profit de cette rencontre, l’autre, prêtre français, veut apporter le salut à l’Indien ainsi qu’à son peuple. Ils naviguent le long de la région du Lac Supérieur pour chercher Hiawatha, mais ne trouvent que les membres de sa tribu, qui les mèneront jusqu’à sa grand-mère. Celle-ci va leur raconter l’histoire d’Hiawatha enfant prédestiné, béni par les esprits et les dieux. Devenu adulte, il fut un grand guerrier et chasseur, puissant et rapide. Lorsque son père Mudjekeewis abandonna sa mère pour aller prendre sa place parmi les immortels dans le Royaume des vents d’Est, sa mère en mourut. Pour venger sa mort, Hiawatha provoque son père en duel et celui ci en meurt...

    “Cette histoire, empruntée à la légende, respecte assez la culture des Indiens d’Amérique pour qu’on encourage les jeunes – et les moins jeunes – à s’y intéresser.”
    http://www.lexpress.mu/display_article_sup.php?news_id=84774

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  •  
    26 avril 2007
    Nord du Québec
     
     
    Innus, caribous: rencontre sur la rivière George
    Anne Pélouas 

     
    Sous la tente traditionnelle, de forme ovale avec deux foyers, on se couche sur un lit de branches d'épinette odorantes. Non sans avoir regardé le ciel étoilé. Ou admiré ses premières (belles) aurores boréales!
    photo: Anne Pélouas

    Le Nord du Québec, passé le 55e parallèle, est la terre ancestrale de plusieurs nations autochtones, dont celle des Innus. Leur culture d'ex-nomades est ancrée dans la toundra, au-delà de Schefferville.
     
    WEDGE POINT-MUSHUAU-NIPI, TERRE MYTHIQUE

    L'ancienne ville minière, quasi fantôme, de Schefferville n'a qu'un intérêt: celui d'ouvrir grand la porte aux aventures nordiques. L'hydravion décolle et l'on plonge dans un univers inconnu, un pays de lacs, d'épinettes clairsemées, de collines pelées à perte de vue. Le pilote navigue à vue, une carte sur les genoux, jusqu'à la rencontre de la rivière George qu'il suivra comme un couloir aérien. Deux cent cinquante kilomètres plus loin, une belle dune de sable apparaît, puis un éperon de pierre s'avançant dans l'eau. L'esker tout en zigzag voisine avec le campement traditionnel innu, notre port d'attache.
    La rivière George est au coeur de la culture innue-montagnaise et séjourner dans ce camp du Mushuau-nipi, "le pays de la terre sans arbre", c'est entrer de plain-pied dans l'histoire ancienne et moderne d'un des peuples les plus attachants du Québec nordique, en compagnie de deux de ses représentants: Serge Ashini-Goupil et sa mère, Elizabeth. Le premier a créé une entreprise d'écotourisme culturel autochtone dont la seconde est bien fière. Parce qu'il perpétue une tradition qu'elle a bien connue enfant, elle qui chaque fin d'été quittait avec sa famille la côte du golfe du Saint-Laurent, près de Sept-Îles, pour remonter la rivière Moisie en canot jusqu'à Schefferville, puis aller chasser le caribou en hiver. À Wedge Point, près du lac de la Hutte sauvage, les "nomades" innus avaient un campement réputé, attesté par de nombreux 
    vestiges archéologiques (tombes, emplacements de tentes...). C'est dans la tente, où elle prépare la banique et le caribou du souper, ou dehors, quand elle apprête la truite grise qui sera fumée au grand air, qu'Elizabeth raconte rituels et légendes anciennes tout en évoquant sa propre vie, dans un pensionnat autochtone puis une école d'infirmières, ses années en Abitibi plus quelques-unes à la tête du dispensaire pour les Innus de Schefferville, avant de prendre sa retraite et d'épauler son fils.
    Lui vous emmène à pied découvrir la toundra aux couleurs chatoyantes, dans cette région qui fut un véritable carrefour de transhumance humaine, en même temps qu'une grande route de caribous. Le troupeau de la rivière George, venu des monts Torngat, la traverse encore fréquemment aujourd'hui.
     
    DODO DE RÊVE SOUS SHAPUTUAN
     
    Sous la tente traditionnelle, de forme ovale avec deux foyers, on se couche sur un lit de branches d'épinette odorantes. Non sans avoir regardé le ciel étoilé. Ou admiré ses premières (belles) aurores boréales! À l'intérieur, le feu crépite dans le poêle. La nuit sera bonne et régénératrice, surtout après un bon souper à la mode tout aussi traditionnelle, avec caribou, outarde ou perdrix, suivi d'une soirée de légendes et de musique, sur fond de tambour innu.
     
    INFO
    Aventures Ashini: (tél.: [418] 842-9797; www.ashini.com): chaque été, séjours de découverte du mode de vie traditionnel et de la culture des Innus, incluant randonnées pédestres, canot rabaska, découverte de la faune et de la flore...
    En août, du 6 au 14, en plus de ces activités, on peut participer sur place à un "séminaire nordique autochtone" de neuf jours, avec conférences en plein air animées par la journaliste Hélène Raymond, le tout présidé par Suzy Basile, directrice générale de l'Institut de développement durable des Premières Nations du Québec et du Labrador et Yves Bégin, directeur du Centre d'études nordiques de l'Université Laval.
    Le séjour se prolonge, éventuellement, du 13 au 16 août par une randonnée guidée vers les aires de mise bas des caribous, à moins qu'on opte pour cette seule formule.
    Du 16 au 24 août, Aventures Ashini organise sa première rencontre, ouverte à tous, "des Sages Québécois - Autochtones", présidée par Marcelline Picard-Kanapé, Innue de Pessamit, et Jacques Proulx de Solidarité rurale du Québec. Également sous la forme de conférences données sur différents sites bordant la rivière George, avec activités de plein air en sus.
     
    CALENDRIER NORD DU QUÉBEC-BAIE-JAMES
     
    Du 21 au 30 juin: Festival du doré Baie-James: méga-tournoi de pêche organisé à Chapais. 1 877 846-2020; www.festivaldudore.com.
     
    Du 6 au 8 juillet: Journées de l'amitié autochtone, Chibougamau; fête traditionnelle populaire. (418) 748-7667.
     
    Du 2 au 5 août: Festival en août, 9e édition, Chibougamau; principal événement culturel, avec spectacles en tout genre, du Nord du Québec. (418) 748-7195.

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  • Le Quotidien, Jeannot Lévesque

     
    TRAITÉ AVEC DES NATIONS AUTOCHTONES
    Consultation publique possible avant l'été
    Louis Tremblay
    Le Quotidien
    CHICOUTIMI
     (Le Quotidien, Jeannot Lévesque)
    L'équipe du gouvernement du Québec chargée de négocier un premier traité avec le Conseil tribal Mamitun (Natashkuan, Mashteuiatsh et Essipit), croit être en mesure de soumettre à la consultation publique les dispositions sur l'affectation territoriale avant l'été.
    C'est ce qu'a indiqué devant les membres du Cercle de presse du Saguenay Me Jean Bertrand, membre de cette équipe dirigée par le diplomate de carrière Yves Fortier. Ce dernier était de passage au Saguenay en compagnie du représentant régional Germain Simard et du responsable de la consultation auprès des Québécois et ex-maire de Port-Cartier, Anthony Detroio.
    "Les gens ne doivent pas s'attendre à voir des cartes pour savoir où passe une ligne précise. Ce sont vraiment les mécanismes sur les affectations des territoires que nous voulons présenter à la population pour connaître son opinion", a répété au Quotidien le négociateur gouvernemental.
     
     
     
    Même si tout le contenu d'un éventuel traité ne sera pas présenté lors de cette première phase de consultation, Me Bertrand reconnaît que ces dispositions sont fondamentales et constituent la base d'une entente. Il y a dans ces dispositions les règles sur la constitution de l'Innu Assi qui deviendra le territoire sur lequel les Indiens exerceront la pleine autonomie gouvernementale.
     
    Territoire
     
    Ce sont les territoires actuels des trois communautés avec des propositions d'agrandissement, incluant les expropriations nécessaires et les droits des personnes dont les propriétés seront acquises pour permettre d'augmenter la superficie des villages actuels. Des communautés comme Mashteuiatsh et Essipit ont besoin de superficies additionnelles en raison de l'explosion démographique qui caractérise ces populations.
    L'autre morceau important de ces affectations territoriales encadrera les relations entre les communautés et le gouvernement du Québec (les Québécois), sur le Nitassinan. Il s'agit des territoires occupés historiquement par ces populations nomades qui parcouraient des milliers de kilomètres pendant la chasse hivernale.
    "Depuis 2004 (jugement Haïda), il y a une obligation pour le gouvernement du Québec de consulter les Innus dans les projets de développement qui affectent le territoire. En retour, il y a une obligation pour les Innus de participer à la consultation. En ce moment, chacun est débordé par les demandes de consultation. Ce sont des aspects de l'affectation des territoires", reprend le procureur affecté à la négociation.
    En ce moment, il existe une incertitude quant à la façon d'intégrer les jugements favorables aux droits des autochtones à la gestion des terres publiques. La négociation d'un traité, assure Me Jean Bertrand, permettra à tout le monde de voir un peu plus clair et surtout, de mieux harmoniser les intérêts de chaque groupe. Il s'agit d'encadrer l'exercice des droits dans un cadre pour les sortir de l'interprétation des tribunaux.
    Le négociateur gouvernemental est demeuré très prudent sur l'appréciation de ce que le gouvernement doit céder pour obtenir un traité qui encadrera les règles du jeu : "Au lieu de le voir négativement, on peut le regarder autrement et se dire que de l'autre côté (chez les Innus), certaines personnes trouvent qu'elles cèdent beaucoup de choses. Il s'agit d'un compromis de part et d'autre", a insisté Me Bertrand.
    Les négociateurs du gouvernement du Québec souhaitent terminer d'ici la fin 2007 la partie du futur traité qui couvrira l'aspect territorial. Une seule phrase dans le texte du traité peut représenter deux ou trois pages dans une entente accessoire.
    Les Innus du Québec qui ont obtenu des gouvernements la reconnaissance de nation n'ont jamais paraphé de traité avec les gouvernements fédéral et provincial de même qu'avec les représentants britanniques ou français avant la création du Canada.

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  •  
    Le  nouveau gouvernement du Canada investit plus de 50 millions de dollars dans l'amélioration de l'environnement d'apprentissage chez les Premières Nations
       
     CALGARY, le 5 avril /CNW Telbec/ - L'honorable Jim Prentice, ministre des
    Affaires indiennes et du Nord canadien et interlocuteur fédéral auprès des
    Métis et des Indiens non inscrits, a annoncé aujourd'hui l'investissement de
    plus de 50 millions de dollars dans des projets d'infrastructures scolaires de
    partout au Canada.
        Le nouveau gouvernement du Canada est d'avis que les élèves des Premières
    nations méritent de disposer des meilleures infrastructures scolaires
    possibles pour s'instruire et réussir, a déclaré le ministre Prentice. Nous
    sommes fiers d'effectuer cet investissement, et de faire en sorte que les
    jeunes puissent apprendre dans des lieux sains, sécuritaires et conformes aux
    normes suivies ailleurs au pays."
        L'investissement de 50 millions sera consacré à 12 projets de différentes
    régions du Canada. Les fonds soutiendront divers projets, notamment la
    construction, la rénovation, l'aménagement et la planification
    d'infrastructures scolaires.
        Parmi les projets déjà en cours qui illustrent les efforts déployés pour
    améliorer l'environnement d'apprentissage des élèves des Premières nations,
    notons les suivants.
        ALBERTA
        -------
        Ecole Sunchild : 10,75 millions de dollars sur trois ans pour agrandir
        l'école de la Première nation de Sunchild, qui accueille les élèves de la
        maternelle à la 12e année.
        Ecole Big Horn Ta Otha : 12 millions de dollars sur trois ans pour
        construire une nouvelle école qui remplacera les salles de classe mobiles
        utilisées actuellement par la Tribu des Stoney.
        Ecole Morley : 2,48 millions dollars sur trois ans pour aménager un
        nouveau gymnase dans cette école élémentaire de la Tribu des Stoney.
        SASKATCHEWAN
        ------------
        Ecole secondaire Pelican Narrows : 220 000 $ pour lancer le travail
        d'aménagement exigé par la rénovation/l'agrandissement proposé de
        l'école, située dans la Nation crie Peter Ballantyne, dans le nord de la
        province.
        Ecole James Smith : 500 000 $ pour effectuer d'importants travaux de
        rénovation, y compris la réparation de la toiture de cette école située
        dans la collectivité de James Bay, dans le centre de la Saskatchewan.
        QUEBEC
        ------
        Unamen Shipu : 270 000 $ pour construire un quadruplex qui accueillera
        les enseignants venant de l'extérieur. Cette collectivité isolée, située
        dans la Basse-Côte-Nord, n'est pas accessible par la route.
        Opitciwan : 60 000 $ pour financer l'établissement des plans et du
        descriptif d'un nouveau système de ventilation à l'école élémentaire. La
        collectivité d'Opitciwan est située en Haute-Mauricie.
        Matimekush : 100 000 $ pour accélérer le projet de réhabilitation de
        l'école, qui est actuellement en construction. La collectivité est située
        dans une région isolée à la frontière du Labrador (Terre-Neuve) et n'est
        accessible que par avion et par train.
        ONTARIO
        -------
        Première nation de Whitefish River : 2,3 millions de dollars pour
        aménager et construire une nouvelle école dans cette collectivité
        ojibway, située à environ 70 kilomètres au sud-ouest de Sudbury.
        ATLANTIQUE
        ----------
        Premières nations de Shubenacadie et de Waycobah : 7,5 millions dollars
        pour construire deux nouvelles écoles en deux ans dans les réserves. Les
        deux établissements accueilleront des élèves de la maternelle à la 12e
        année.
        La Première nation de Shubenacadie est située à 28 kilomètres au sud-
        ouest de Truro (Nouvelle-Ecosse), et la Première nation de Waycobah, à
        70 kilomètres à l'ouest de Sydney (Nouvelle-Ecosse).
        Première nation innue de Sheshatshiu : 14,6 millions de dollars sur
        trois ans pour construire une nouvelle école. La Première nation innue de
        Sheshatshiu est située à 40 kilomètres au sud-ouest de Happy Valley-
        Goose Bay, au Labrador.

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