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    Bannique
    Les élèves des écoles primaires Saint-Sauveur et Saint-Joseph, de Val-d'Or, auront la chance de mieux connaître la culture autochtone. Dans le but de favoriser le rapprochement entre autochtones et allochtones, un groupe d'Innus de la Côte-Nord leur présentera cette semaine une série d'activités éducatives.

    De la dégustation de bannique et de tisane de mélèze à la fabrication de capteurs de rêves, les élèves pourront se familiariser avec une culture qu'ils côtoient tous les jours.

    « De plus en plus, les allochtones et les autochtones vont devoir vivre ensemble, puisque de plus en plus, avec l'université qui s'en vient, on va avoir beaucoup d'autochtones à Val-d'Or. Si dès leur plus jeune âge les élèves prennent connaissance de la culture autochtone, après ça en tant qu'adultes, ils ne verront pas les autochtones de la même façon », affirme la responsable du service aux autochtones de l'école Saint-Joseph, Maude Goulet.

    Les autochtones représentent plus de 10 % de la clientèle des écoles primaires de Val-d'Or.

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  • Beaucoup d'enseignements Spirituels vous sont offerts, certains peuvent ne pas vous aider dans cette vie, aussi acceptez en un autre.

    Il y a beaucoup d'enseignements.
    Chaque enseignant Spirituel, chaque nationalité, chaque race, chaque être humain est issu de l'Arbre de Vie, l'essence même de
    toute connaissance spirituelle. Le tronc fait les branches, puis les branches font des feuilles. l'homme est la feuille, il atteint un certain mûrissement, et vient le temps pour lui de partir dans le monde des Esprits, son corps tombe sur la Terre comme la feuille de l'arbre. Ainsi se fertilise la Terre.
     

    Les enseignements Spirituels sont les branches maîtresses de l'Arbre, profondément reliés au coeur de notre Mère la Terre.

    Les anciens enseignements des prophètes et des prophéties sont ainsi transmis depuis des milliers d'années.

    La vie continue....

    Chacun de nous est à la recherche de la réalité, de la véritable Spiritualité tout au long de son chemin, sur cette Terre, notre Mère,
     tout au long de sa vie d'être humain.


    Nous marchons sur la Terre, l'herbe est haute, les fleurs s'épanouissent et le doux parfum d'un jardin nous attire. Nous changeons de direction pour suivre ce parfum. Nous arrivons à une rivière, las, nous nous asseyons, retirons nos chaussures pour baigner nos pieds dans l'eau fraîche. Nous nous abandonnons au bien être et au bonheur de cet instant. Nous sommes dans le monde du matérialisme.

    Alors le vent change et le parfum s'évanouit. Pour les gens sans patience, leur vie s'arrête là.
    Les gens patients s'asseyent et prient.
    Le vent tourne de nouveau et le parfum revient pour les guider jusqu'à ce jardin. C'est le jardin de la Spiritualité, de l'équilibre que nous cherchons tous au fond de notre coeur. Parvenus à ce jardin, nous devons accepter la réalité de ce que nous avons trouvé. Si nous déséquilibrons cette réalité, nous revenons au tout début de notre recherche pour recommencer, chercher de nouveau.
     Ainsi, sur cette Terre, s'enroule et se déroule la Spiritualité autour de chaque être humain.
    Archie Fire Lame Deer
    Tradition Lakota

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  • voici une action qui montre bien l'égalité et la fraternité .quand je lie ce genre de chose , je me demande si ils savent ce que ces mots veulent dire vraiment!
    tout est argent , tout est superficielle ! si ca rapporte pas on fait en sorte que cela le devienne pourquoi??????? LAISSER LES TRANQUILLE !!!!!!!!!!
     
     
     
     Chirac a créé en vitesse un parc national en Guyane sans consulter les Indiens, alors que ce parc est créé par suppression du"pays indien" décidé en 1970. Maintenant, on connaît la liste des membres du Conseil d'administration de ce parc : une magouille de plus pour mener encore plus surement à la disparition des Indiens, ou au mieux à leur prolétarisation, suicides et alcoolisme à la clé !
    La liste des 43 membres du Conseil d' administration du parc national de la Guyane est parue le 17 avril sur le site de www.blada.com, en page Jodla du 17. Liste scandaleuse, car il n' y a que 3 indiens sur 43 membres. (on peut ajouter aussi le maire de Camopi, l' Indien Teko Joseph Chanel). Révoltant, car ce parc a été créé sur le territoire des Amérindiens Wayana, Wayampi et Teko. Il n' y a aucun représentants des organisations politiques amérindiennes comme "Villages de Guyane" et fédération "FOAG", alors que les chefs de l' ethnie issue de la colonisation, les créoles, sont en force : 17 représentants. Les Créoles dominent le Conseil Général et le Conseil Régional, et sont traditionnellement habités par des préjugés racistes au détriment de tous les habitants de la forêt, qu' ils soient issus des Peuples Autochtones (les Amérindiens), ou issus des révoltes contre l' esclavage , les Noirs-Marrons. On remarque aussi la présence des associations de protection de la nature, mais rien en ce qui concerne les ONG de défense des Peuples Autochtones, telles Survival International, ou ICRA International, ou l' association "Solidarité Guyane". Il y a 5 scientifiques spécialistes des plantes et des animaux amazoniens, mais zéro scientifique pour ce qui concernent les peuples amazoniens = zero ethnologue ! Par contre l' ennemi acharné des Indiens est là : l' homme d' affaire Alain HERMES,PDG de Takari Tour, qui rêve depuis des années de se faire plein d' argent en exploitant l' attrait touristique que représente le spectacle exotique des "derniers indiens sauvages". Il peste contre l' arrêté préfectoral de 1970 qui interdit l' ethnotourisme dans tout le tiers sud de la Guyane, car pour lui, les seins nus des amérindiennes sont un excellent créneau porteur qu'il faut exploiter. Il veut donc profiter de la création de ce parc national pour réouvrir des ZOOS HUMAINS comme du temps des colonies. Car il semble que la création de ce parc fragilise le réglement de 1970. On pourra à nouveau autoriser le tourisme partout, même si le texte de ce parc insiste sur la nécessité de respecter les souhaits des amérindiens qui ont exprimé leur volonté de ne pas être envahi de touristes. Si personne ne réagit, si aucun touriste se fait tuer pour avoir osé franchir la limite instituée en 1970, on peut craindre le pire, comme chez les Papous livrés au voyeurisme des touristes. On lira à ce sujet sur Internet de Franck Michel=Voyage en terre papoue ou le tourisme voyeur à son comble : http://www.deroutes.com/papous.htm 
    Revendications des derniers colonisés de l'Etat français sur le site www.solidarite-guyane.org
    http://paris.indymedia.org/article.php3?id_article=80028

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  • Lundi 30 avr 2007 | 18:20

    Un groupe de résidants de Caledonia manifestera sur une autoroute achalandée

    TORONTO (PC) - Excédés par l'occupation de terres à Caledonia, des résidants de cette ville du sud de l'Ontario comptent parcourir lentement en convoi l'une des voies rapides les plus achalandées de la province, mercredi, pour se rendre manifester devant l'Assemblée législative ontarienne.

    Les protestataires souhaitent pousser le gouvernement provincial à accélérer les négociations et mettre fin à l'occupation, qui se poursuit depuis plus d'un an et a parfois donné lieu à des affrontements violents.

    Un des organisateurs de la manifestation itinérante a indiqué que la caravane, qui devrait réunir au moins une centaine de personnes, se déplacera sous la vitesse limite entre Caledonia et Queen's Park, à Toronto, en arborant des drapeaux canadiens. Il lui faudra environ deux heures pour franchir les 100 kilomètres jusqu'au Queen Elizabeth Way, l'une des principales artères menant au centre-ville de Toronto, a précisé Dan Roberts.

    Le gouvernement provincial soutient ne pas avoir le pouvoir de mettre fin à l'occupation par la bande des Six Nations, et que seul Ottawa peut régler la revendication territoriale. Les autochtones disent avoir été dépouillés de l'emplacement qu'ils occupent, il y a plus de 200 ans.

    Des négociations sont en cours entre les autochtones et les gouvernements fédéral et ontarien

    http://www.info690.com/nouvelle-groupe_residants_caledonia_manifestera-189652-2.html


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  • Espèces menacées
    La liste s'allonge dangereusement
    Mise à jour le lundi 30 avril 2007, 17 h 29 .


    Un requin pèlerin
    Photo: Chris GotschalkSeuls six requins pèlerins ont été vus dans les eaux de la Colombie-Britannique depuis 1996.
    Il y a 48 espèces menacées de plus cette année au pays.

    Un document du Comité sur la situation des espèces en péril au Canada (COSEPAC) indique aussi que la survie de plusieurs espèces d'oiseaux insectivores est maintenant menacée.

    La cause du déclin mondial de ces oiseaux et d'autres espèces apparentées reste inconnue, ce qui inquiète les autorités.

    L'engoulevent d'Amérique et le martinet ramoneur font partie de ces espèces.

    Le déclin marqué de plus de 70 % de la population de bécasseau maubèche, un oiseau de rivage migrateur, est lui aussi préoccupant. Sa population nord-américaine a d'ailleurs été désignée « en voie de disparition »

    Depuis le début de ses activités en 1978, le comité a recensé 552 espèces en péril vivant au Canada.


    Du côté des poissons, le requin pèlerin, qui vit dans le Pacifique, est maintenant menacé. Il est victime d'une pêche trop abondante.

    Moules zébrées
    La moule zébrée est une espèce envahissante.
    Le comité a cependant de meilleures nouvelles concernant le faucon pèlerin et la loutre de mer. Ces deux espèces, qui avaient été jugées menacées il y a quelques années, vont beaucoup mieux, se trouvant maintenant en situation « simplement » préoccupante.

    La présence de la moule zébrée, une espèce introduite en 1986, continue de se faire sentir dans les Grands Lacs. Elle a, entre autres, décimé les populations de ligumie pointue. Cette moule d'eau douce a subi un énorme déclin. On estime que ces moules se comptaient autrefois par milliards. Seules deux petites populations se trouvent toujours au Canada. La moule se trouve maintenant dans la catégorie « en voie de disparition »

    Le cornouiller fleuri, l'un des arbres indigènes canadiens, a aussi été ajouté à cette catégorie. Des populations de cet arbre sont infectées par un champignon, l'anthracnose du cornouiller.

    Saviez-vous que?
    Il y a au Canada 222 espèces en voie de disparition, 139 espèces menacées, 156 espèces préoccupantes et 22 espèces disparues du pays (c.-à-d. on ne les trouve plus à l'état sauvage au Canada). De plus, 13 espèces ont disparues et 45 espèces font partie de la catégorie données insuffisantes.
    http://www.radio-canada.ca/regions/colombie-britannique/2007/04/30/005-especes-menacees.shtml

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