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    Les droits territoriaux des autochtones

    Au Canada, depuis quelques décennies, les Premières nations tentent de se réapproprier leurs terres ancestrales. Entre l’arrivée des premiers Européens au XVIe siècle et aujourd'hui, les peuples autochtones sont passés d’alliés des nations occidentales à citoyens de seconde classe. Les traités anciens et les principes de droit constitutionnel constituent les fers de lance de ces revendications. Suivez l’évolution des droits des autochtones au fil du temps, des lois et des aléas de la justice canadienne.

    http://archives.radio-canada.ca/fr/IDD-0-17-1119/politique_economie/droits_autochtones


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  •  woatch ! quand je voie se genre de chose , ca me désespère ! pourquoi   respirer ca? il y a un message cachet derriere ces jeunes faut arriver a les entendre !!!!!!!!!!!!

    fred tipied

    Le lundi 25 juin 2007

     
     
     Un jeune innu issu de la communauté Davis Inlet au Labrador inhale des vapeurs d'essence. (Photo PC)

    Un jeune innu issu de la communauté Davis Inlet au Labrador inhale des vapeurs d'essence.
    Photo PC

     
    Bob Weber
    Presse Canadienne
    Edmonton
    Les autochtones du Labrador espèrent qu'une nouvelle essence — l'Opal, qui n'intoxique pas ceux qui en inhalent — pourra aider à enrayer un problème persistant chez les jeunes de leurs communautés.
     

    Même si la compagnie BP, qui a développé l'essence Opal en Australie, a offert gratuitement sa formule à tous ceux qui désirent en produire, il est difficile de dire comment cette essence pourrait être rendue disponible aux communautés autochtones canadiennes qui en voudraient, car BP ne possède pas de raffinerie au pays.
    «Nous aimerions que l'Opal soit disponible au Canada, a déclaré la porte-parole de BP, Anita Perry. Il s'agit seulement d'un problème de logistique.»
    L'essence Opal a été développée pour répondre partiellement à un problème d'inhalation de vapeurs d'essence dans les communautés autochtones australiennes, un problème qui fait aussi rage depuis longtemps dans les communautés autochtones du Labrador.
    En 2002, toute la communauté autochtone de Davis Inlet avait été délocalisée après que des images montrant des enfants inhalant des vapeurs d'essence aient fait le tour du monde. Seulement trois ans plus tard — et après avoir dépensé 160 millions $ en coûts de délocalisation —, le chef de la nouvelle communauté, installée à Natuashish, a été forcé d'admettre que le problème était à nouveau incontrôlable.
    Au printemps dernier, une délégation composée d'Innus, d'Inuits et de représentants du gouvernement s'est rendue en Australie, afin de prendre connaissance de l'effet de l'essence Opal dans ces communautés.
    «Là où le produit est disponible, l'inhalation de vapeurs d'essence n'est plus un problème, a déclaré Daniel Pottle, instigateur de cette délégation canadienne et membre du gouvernement du Nunatsiavut. Cette essence nous a laissé une très bonne impression.»
    En Australie, l'essence est offerte aux communautés qui en font la demande, pourvu que des programmes de traitement de cette accoutumance soient en place. Le coût excédentaire de l'essence — 30 cents le litre — est assumé par le gouvernement australien.
    Bien que l'efficacité de l'Opal n'ait pas été testée par températures froides, M. Pottle souhaiterait qu'un programme du même type soit instauré ici. «Nous présenterons des propositions à différents niveaux de gouvernement pour qu'une telle initiative voit le jour», a ajouté M. Pottle, spécifiant que ces propositions devraient être prêtes vers la fin de l'été.
    BP est en contact avec le groupe de M. Pottle et selon Mme Perry, la pétrolière serait prête à collaborer avec un autre raffineur — même à fournir gratuitement la formule de l'Opal. «Nous serions très ouverts à ce qu'une autre compagnie produise cette essence. Il s'agit d'un excellent programme.»

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  • http://www.manawan.com/

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  • Mashteuiatsh
    Une usine de la plus belle eau
    Mise à jour le vendredi 22 juin 2007, 11 h 10 .


    Mashteuiatsh
    Le ministre des Affaires indiennes et du Nord Canada, Jim Prentice, a inauguré, jeudi après-midi, la nouvelle usine de production d'eau potable de Mashteuiatsh.

    Ces infrastructures représentent un investissement de près de six millions de dollars. Ottawa a financé 80 % du projet. Le Conseil des Montagnais du Lac-Saint-Jean a, quant à lui, contribué pour la somme de 1, 2 millions de dollars.

    L'usine, qui est en exploitation depuis un an, permet aux 2 200 Innus de Mashteuiatsh d'avoir accès à de l'eau de qualité.

    L'ancienne usine de filtration datait des années soixante. D'ailleurs, le chef des Pekuakamiulnuatsh, les Montagnais du Lac-Saint-Jean, Gilbert Dominique, souligne que l'eau potable à Mashteuiatsh constituait un problème crucial.

    Il était devenu incontournable, dit-il, d'investir dans une nouvelle usine attendu que les installations antérieures étaient en deçà des normes actuelles.

    Mashteuiatsh puise son eau potable dans le lac Saint-Jean.

    http://www.radio-canada.ca/regions/saguenay-lac/2007/06/22/001-usine_Mashteuiatsh.shtml

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  • Micmacs
    Les communautés gaspésiennes font le point
    Mise à jour le vendredi 22 juin 2007, 17 h 26 .


    Les communautés micmaques de la Gaspésie font le point sur leurs relations avec Québec et Ottawa. Les chefs de file de Gespeg, de Gesgapeiag et de Listuguj sont en discussions, vendredi, à Gaspé, dans le cadre d'une alliance politique conclue en 2000.

    Le chef, John Martin (archives)
    Les trois communautés s'étaient entendues à l'époque pour travailler ensemble à l'avancement de certains dossiers. Les Micmacs tiennent notamment à rappeler leur position sur l'occupation de leur territoire traditionnel de chasse.

    Les communautés autochtones de la Gaspésie n'ont jamais renoncé à leurs revendications sur la forêt et l'industrie pétrolière. Depuis quelque temps, les Micmacs lorgnent aussi vers l'énergie éolienne.

    Si l'intégration à la pêche commerciale a aidé au développement économique des autochtones, les communautés ont d'énormes besoins financiers. Le chef de Gesgapegiag, John Martin, indique qu'une bonne partie des revenus de la pêche sert à financer les programmes sociaux.

    Les chefs profitent également de leur rencontre pour discuter d'autres dossiers, dont possiblement celui de la pourvoirie autochtone que les Micmacs de Gesgapegiag veulent créer dans le canton Balwdin en Haute-Gaspésie.

    http://www.radio-canada.ca/regions/est-quebec/2007/06/22/011-Micmacs.asp

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