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Bonjour a tous ,
Notre association "L'appel de la nature " aurait besoin d'un traducteur bilingue . Ce traducteur nous aiderait à traduire des documents et articles futur . Que vous soyez dans notre région , au Canada (même vous les jeunes d'une Communauté ) ou en france cela nous servirez a beaucoup de chose . Je sais que vous êtes nombreux ici a venir alors je vous lance un appel . Pour en savoir plus sur ce sujet contacter moi par mail . Un grand projet est en prévision avec nos ami(e)s des Premières Nations pour 2009 /2010. Je ne peus rien dire de plus ici temps que cela ne sera pas plus former .
Cordialement
fred
ps: On aurait aussi besoin de membres ACTIF qui seraient du QUEBEC
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Mashteuiatsh
Kassinu Mamu infesté de moisissuresMise à jour le mardi 21 octobre 2008, 16 h 56 .
Les problèmes de qualité de l'air rencontrés depuis le début de l'année dans l'édifice public Kassinu Mamu à Mashteuiatsh ont bel et bien été causés par des moisissures, selon la conclusion du rapport d'analyse de la Direction de la santé publique.
Le Dr Léon Larouche et ses collègues appuient leurs dires sur plusieurs rapports d'analyses bactériologiques et chimiques effectués par la Direction de la santé publique et par des firmes privées. Des chiens pisteurs ont même été utilisés pour trouver l'origine du problème.
Les moisissures ont surtout affecté la qualité de l'air dans les deux ailes de l'édifice où sont installés le Centre de développement de la main-d'oeuvre et une garderie.
L'école primaire et secondaire, qui occupe la partie centrale de l'immeuble, a été relativement épargnée. Fermée temporairement, on y a fait un grand ménage et les élèves ont pu ensuite revenir en classe.
Quant aux principaux foyers d'infestation, leur accès est toujours interdit. Le conseil de bande procède actuellement à la décontamination des lieux, en collaboration avec la Direction de la santé publique. « On fait des inspections invasives, c'est-à-dire aller voir à la source dans les murs pour dépister les foyers de croissance », indique le Dr Léon Larouche, de la Santé publique.Hyperliens Air vicié
11 septembre 2008
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Un départ qui ne laisse pas indifférent
Mise à jour le mardi 21 octobre 2008 à 17 h 47
Au lendemain de la démission du juge Harry LaForme en tant que président de la Commission de vérité et de réconciliation des pensionnats pour autochtones, plusieurs voix se sont élevées mardi pour s'exprimer sur ce départ.
C'est le cas du chef de la Nation Anishinabek, John Beaucage, qui a réclamé la destitution des commissaires qui siègent à la Commission. Selon lui, les anciens élèves des pensionnats autochtones ont perdu confiance. C'est pourquoi il considère que les commissaires actuels, Jane Brewin Morley et Claudette Dumont-Smith, doivent être relevées de leurs fonctions.
De plus, l'association nationale des survivants de pensionnats autochtones et l'Assemblée des Premières nations s'inquiètent des délais entraînés par ce départ. En effet, les survivants devront patienter davantage avant de témoigner des sévices physiques et psychologiques qu'ils ont subis.
Le chef national de l'Assemblée des Premières nations, Phil Fontaine, estime qu'il faut s'assurer que la Commission trouve un remplaçant afin qu'elle puisse fonctionner. Il croit que la Commission doit être un lieu où les survivants pourront aller en toute confiance raconter leur histoire aifin que la lumière soit faite sur cette affaire. Il ajoute qu'il faut que l'exercice soit fait aussitôt que possible.
En Saskatchewan, la démission surprend la Fédération des nations indiennes. Le vice-chef de l'organisation, Lyle Whitefish, croit que le départ du président minera la confiance des survivants dans le processus.
Un mandat
La Commission de vérité et de réconciliation des pensionnats autochtones, créée en juin, a le mandat de recueillir les témoignages des anciens élèves des pensionnats fédéraux à travers le pays.
C'est en raison d'un conflit interne que son président, le juge Harry LaForme, a remis sa démission lundi. C'est en avril dernier que le juge de la Cour d'appel de l'Ontario avait été nommé à ce titre.
La commission a été mise sur pied le 1er juin dans le cadre d'un accord d'indemnisation de 1,9 milliard de dollars avec les anciens élèves des pensionnats fédéraux. Elle vise à recueillir, pendant environ cinq ans, les témoignages d'anciens élèves.
Au cours du siècle dernier, environ 150 000 enfants autochtones de tout le pays ont été envoyés dans des pensionnats fédéraux. Plusieurs d'entre eux ont été victimes de sévices et d'agressions sexuelles.
De ce nombre, environ 80 000 anciens pensionnaires sont encore vivants.
Radio-Canada.ca avec Presse canadienne
Section spécialePensionnats indiens : l'enfance déracinéearticles audio-vidéoUn réseau de pensionnats est mis en place pour assimiler les enfants autochtones.
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Pensionnats autochtones
Un départ qui ne laisse pas indifférent
Mise à jour le mardi 21 octobre 2008 à 17 h 47
Au lendemain de la démission du juge Harry LaForme en tant que président de la Commission de vérité et de réconciliation des pensionnats pour autochtones, plusieurs voix se sont élevées mardi pour s'exprimer sur ce départ.
C'est le cas du chef de la Nation Anishinabek, John Beaucage, qui a réclamé la destitution des commissaires qui siègent à la Commission. Selon lui, les anciens élèves des pensionnats autochtones ont perdu confiance. C'est pourquoi il considère que les commissaires actuels, Jane Brewin Morley et Claudette Dumont-Smith, doivent être relevées de leurs fonctions.
De plus, l'association nationale des survivants de pensionnats autochtones et l'Assemblée des Premières nations s'inquiètent des délais entraînés par ce départ. En effet, les survivants devront patienter davantage avant de témoigner des sévices physiques et psychologiques qu'ils ont subis.
Le chef national de l'Assemblée des Premières nations, Phil Fontaine, estime qu'il faut s'assurer que la Commission trouve un remplaçant afin qu'elle puisse fonctionner. Il croit que la Commission doit être un lieu où les survivants pourront aller en toute confiance raconter leur histoire aifin que la lumière soit faite sur cette affaire. Il ajoute qu'il faut que l'exercice soit fait aussitôt que possible.
En Saskatchewan, la démission surprend la Fédération des nations indiennes. Le vice-chef de l'organisation, Lyle Whitefish, croit que le départ du président minera la confiance des survivants dans le processus.
Un mandat
La Commission de vérité et de réconciliation des pensionnats autochtones, créée en juin, a le mandat de recueillir les témoignages des anciens élèves des pensionnats fédéraux à travers le pays.
C'est en raison d'un conflit interne que son président, le juge Harry LaForme, a remis sa démission lundi. C'est en avril dernier que le juge de la Cour d'appel de l'Ontario avait été nommé à ce titre.
La commission a été mise sur pied le 1er juin dans le cadre d'un accord d'indemnisation de 1,9 milliard de dollars avec les anciens élèves des pensionnats fédéraux. Elle vise à recueillir, pendant environ cinq ans, les témoignages d'anciens élèves.
Au cours du siècle dernier, environ 150 000 enfants autochtones de tout le pays ont été envoyés dans des pensionnats fédéraux. Plusieurs d'entre eux ont été victimes de sévices et d'agressions sexuelles.
De ce nombre, environ 80 000 anciens pensionnaires sont encore vivants.
Radio-Canada.ca avec Presse canadienne
Section spécialePensionnats indiens : l'enfance déracinéearticles audio-vidéoUn réseau de pensionnats est mis en place pour assimiler les enfants autochtones.
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Pensionnats autochtones
Une commission au bord de la paralysie
Mise à jour le lundi 20 octobre 2008 à 18 h 44
Photo: La Presse Canadienne /Sean Kilpatrick
Harry LaForme (archives)
C'est en raison d'un conflit interne que le président de la Commission de vérité et de réconciliation des pensionnats autochtones, le juge Harry LaForme, a remis sa démission lundi.
Dans une lettre citée par la Presse canadienne qui a été envoyée au ministre Chuck Strahl, responsable des Affaires autochtones, Harry LaForme affirme que la commission est « au bord de la paralysie » parce que ses commissaires ne reconnaissent pas son autorité.
C'est en avril dernier que le juge de la Cour d'appel de l'Ontario avait été nommé président de la commission.
La commission a été mise sur pied le 1er juin dans le cadre d'un accord d'indemnisation de 1,9 milliard de dollars avec les anciens élèves des pensionnats fédéraux. Elle vise à recueillir, pendant environ cinq ans, les témoignages d'anciens élèves.
Le juge avait déjà critiqué publiquement le fonctionnement de la commission. En juillet, il disait craindre que l'ingérence politique ou bureaucratique puisse compromettre les travaux.
Au cours du siècle dernier, environ 150 000 enfants autochtones de tout le pays ont été envoyés dans des pensionnats fédéraux. Plusieurs d'entre eux ont été victimes de sévices et d'agressions sexuelles.
De ce nombre, environ 80 000 anciens pensionnaires sont encore vivants.
Radio-Canada.ca avec Presse canadienne
Section spécialePensionnats indiens : l'enfance déracinéearticleUn réseau de pensionnats est mis en place pour assimiler les enfants autochtones.
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