• Il faut aussi savoir cela ,
    Article traduit de l'anglais :

    Ne jugez pas un Algonquin par la couleur

    Les Algonquins ont une période très difficile en raison de la stratification unification imposée processus tels que la Loi sur les Indiens ( le statut par rapport aux non -inscrits) ainsi que les questions de la réserve par rapport à l'extérieur des réserves . Ces deux processus sont fondés sur le racisme et le sexisme . L'oppresseur imposé ces mesures sur les peuples autochtones comme une forme de contrôle social dans le but de diviser et de nous conquérir . La désunion a été et est encore la stratégie de l' oppresseur .

    Au niveau de la base dans les collectivités autochtones et non autochtones , il existe une idéologie raciste qui régissent bien qui est et qui n'est pas une personne autochtone . Plus précisément , que l'Indien seul vrai est un Indien qui a la peau brune , les cheveux et les yeux . Bien que je ne possèdent toutes ces caractéristiques physiques ( je suis parfaitement conscient que nous vivons aujourd'hui dans une ère post-moderne où le symbolisme phénotype est insuffisante dans l'établissement de formation de son identité subjective , convictions philosophiques et l'appartenance ethnique .


    symbolisme phénotype ( couleur ) est un système culturel sens de l'oppresseur et se fonde sur une idéologie raciste . Algonquin dirigeants doivent veiller à ne pas souscrire à ces types de processus d'exclusion car ils sont très préjudiciable à la guérison et l'unité de notre Nation . Aujourd'hui , les Algonquins peuvent avoir et ont les cheveux blonds et yeux bleus , les cheveux rouges et les yeux verts ; certains ont même des taches de rousseur . Nous en tant que nation ( je suis Algonquin ) doit englober tous les Algonquins , indépendamment de leur «coloration» et à s'unir comme un est à nous battre pour nos droits humains fondamentaux. Nous devons rendre nos ancêtres fiers et de surmonter les stratégies des oppresseurs de division.

    Lynn Gehl
    Toronto , Ontario


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  • Aller voir l'article a cette adresse : http://www.journalmetro.com/linfo/article/600264--autochtones-des-droits-toujours-a-defendre--page0

    MATHIAS MARCHAL

    <script language=javascript type=text/javascript> document.write(ProcessCreditLine_fr("MÉTRO","http://static.metronews.topscms.com")); </script> MÉTRO
    Publié: 11 août 2010 00:00
    Mis à jour: 10 août 2010 20:38
     

     

     

     

     
    Trois ans après sa promulgation, la Déclaration des Nations unies sur les droits des peuples autochtones n’a toujours pas été signée par le Canada. C’est ce qu’ont dénoncé en début de semaine Amnistie internationale et le chef de l’Assemblée des Premières Nations, Shawn A-in-chut Atleo, alors qu’était célébrée la Journée internationale des Premières Nations. «Le Canada a le mérite de s’être engagé à appuyer la Déclaration dans le discours du Trône en mars a rappelé le chef national. Nous avons hâte de collaborer avec le gouvernement pour mettre en œuvre la Déclaration et nous croyons que cela devrait être fait dans un avenir très rapproché.»

    Amnistie internationale (AI) déplore de son côté l’hypocrisie des gouvernements qui se succèdent à Ottawa. «Depuis 1867, les expropriations et les ventes illégales ont entraîné la perte d’environ deux tiers des terres des “réserves” que le gouvernement s’était engagé à garder pour l’usage exclusif des Premières Nations», déplor­ait récemment l’organis­me dans un rapport sur le sujet.

    Selon AI, l’incapacité des gouvernements canadiens à respecter et à protéger les droits des peuples autochtones à des terres et territoires a été un élément déterminant de l’appauvrissement des Premiè­res Nations. Au Québec, les Cris sont ceux qui sont allés le plus loin dans la signature d’ententes avec le gouvernement. Hasard ou non, ces derniers sont les plus prospères parmi les 11 nations autochtones qui peuplent la province.

    Quelques points
    • En septembre 2007, l’ONU adopte la Déclaration des droits des peuples autochtones.
       
    • Cette déclaration (non contraignante) stipule notamment que les peuples autochtones ne peuvent être expulsés de leurs terres.
       
    • Quatre pays ont alors exprimé leur opposition.
       
    • L’Australie et la Nouvelle-Zélande sont rentrées dans le rang, en 2009 et en 2010 respectivement.
       
    • Le Canada explique son refus de signer la Déclaration par le fait qu’elle entre en contradiction avec sa Constitution ainsi qu’avec la Charte des droits et libertés.

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