• William commanda

    Monsieur Commanda, qui a participé, en tant que Chef spirituel, à plusieurs rassemblements mondiaux pour la paix, nous offre avec beaucoup de générosité ce que la vie lui a enseigné.

    Son message nous indique la voie à suivre maintenant pour la sauvegarde de notre seule richesse : l'avenir de nos enfants.

     

    La Terre-Mère et le Créateur

     

    Il y a certainement des choses auxquelles il faut faire attention aujourd’hui. On abuse trop de la Terre-Mère. On a vécu ici durant 60 000 ans avant que les Européens viennent ici : tout était vierge, tout était pur. L'eau était potable partout : les ruisseaux, l'air qu’on respire était pur. Aujourd'hui partout il y a le cancer et les gens meurent comme des mouches. Pour faire plus d'argent, les industries ne s'occupent pas de nettoyer leurs déchets. L'argent tue le monde : on va se retrouver écrasé par la nature polluée parce que ce n'est pas la bonne façon de vivre.

    La terre n'appartient à personne. Si vous voyez votre bible, il est dit dans l'Ancien Testament, chapitre 25 verset 23, que la terre appartient à Dieu. On nous a apporté cette bible là et après les gouvernements se sont mis à vendre les terrains et nous isoler les uns des autres. Ils sont venus ici et ont pris le contrôle de tout. Pas un homme ni un animal ne peut appartenir à quelqu'un. Mes visions me disent tout le temps qu'il n'y pas un homme sur la terre qui a le droit de penser qu'un autre homme lui appartient, même s'il est un nain, tout petit soit-il. Il est lui aussi une création. C’est l'enfant de Dieu comme moi. Il ne m’appartient pas et je ne lui appartiens pas. Comment ça se fait quand on parle de gouvernement, on dit tu vas faire ça sinon tu vas faire de la prison. C’est toujours de la force pour faire faire quelque chose. User de la force, c'est un crime. La force, ce n'est pas un droit. Le droit nous dit : «la loi, c’est la loi». La loi de qui ? Pas celle du Créateur. Avant, pendant des milliers et des milliers d'années, on ne parlait pas de loi. Les ancêtres disaient que ce qui doit nous guider, c’est toujours de vivre de façon à respecter la terre et être ami avec tout le monde.

    L'homme ne sait plus poser de limites. Regardez l'eau qu'il faut boire, il y a de l'uranium dans l'eau ici. Même quand on prend une douche, on se demande ce qui nous coule sur le dos. Parce qu'on a creusé des puits, on est descendu 200 pieds dans la terre. Alors on a dérangé la Terre-Mère. On creuse des trous, des mines pour aller chercher l'or , l'argent ou n'importe quoi d'autre. Ce sont des choses que les Premières Nations ne faisaient pas. On n'était pas intéressé par ce genre de richesse. Mais nous avons aussi ce problème aujourd'hui. Certains ont des millions à la banque et peuvent encore passer tout droit devant quelqu'un dans le besoin. J'ai lu dans un journal qu'aux États-Unis, l'homme le plus riche au monde possède 85 billiards. Tout ça rien que pour un homme qui ne donne rien aux autres. C'est triste. On devient attaché à l'argent. C'est ça qui est triste, parce qu'on ne peut pas emporter ça avec nous autres.

    L'histoire des Algonquins

    Quand Cartier est arrivé ici en 1534, mes ancêtres ont ouvert les bras en disant : « débarquez, il y a de la place pour tout le monde ». Les gens étaient malades, on faisait une tisane et on les guérissait. Mais pourquoi ils ont voulu nous isoler, nous séparer? Quand nos frères blancs sont arrivés, les Anglais et les Français, ils étaient déjà en guerre. Alors ils ont continué la guerre ici, et ils nous ont employés. Les Français nous donnaient du brandy pour se battre contre les Anglais et contre les Iroquois. Les Iroquois ont eu de la chance parce qu'ils ont rencontré les Anglais et sont devenus alliés avec eux. Nos ancêtres nous ont dit qu'auparavant, les Iroquois ne venaient pas dans province de Québec. Ils ont été amenés ici par les Anglais, pour se battre contre les Français. La rivière Gatineau, c'est « Tenagaten » pour nous. À cause d'un homme qui s'appellait Gatineau, on a changé le nom de la rivière. «Tenagaten », ça veut dire « la rivière qui monte tout le temps et qui va loin ». Ils y a quelques années, on a parlé de lui donner le nom qu’elle avait avant, mais ils n'ont gardé que « Tenaga » (une section de la municipalité de Chelsea aux abords de la rivière Gatineau). Nous autres, on dit pas la rivière Gatineau, on dit «Tenagaten ». Ça n'a jamais changé . Il y a beaucoup de noms qui ont changé, même sur les cartes, on voit que c'était des noms indiens. Anciennement, avant qu'elle soit inondée la rivière était bien croche. Quand on dit « baska », on devrait plutôt dire « biské », ca veut dire « croche », et c'est de là que vient le nom du réservoir Baskatong.

    La Rivière Ottawa (Outaouais), on y vivait des deux côtés à partir du St-Laurent jusqu'où ça monte l'autre bord de la barrière. C'était tout habité par des Algonquins. Ils étaient nomades. Nous autres, quand on était à Oka, on allait rester à « nipisi » avec les indiens là-bas, et eux venaient rester à Oka. On voyageait comme ça, on n'était jamais à la même place. Les territoires de chasse étaient partout dans le bois ici en montant, en arrière il y a des lacs, derrière Montebello, en arrière du Mont-Tremblant, les rivières, la Rouge, la rivière La Lièvre : tout cela était nos territoires de chasse. Des chasseurs, il en avait beaucoup. Et les forêts de pin blanc, ça existait tout le long de la rivière Ottawa (Outaouais). On les a coupé des années durant. Ils s'en venaient sur la rivière avec des barques et les millions de pieds de bois qu'ils coupaient chaque année.

    En 1822, mon arrière grand-père est parti de là (Oka). Il était le deuxième chef. Il est venu ici, sur ce qui se trouvait être son terrain de chasse (Maniwaki), son territoire de trappe. Il y a travaillé à faire des abris. En 1854, il y avait officiellement une réserve qui devait comprendre Notre-Dame du Nord, le Témiscamingue et le lac Barrière. On nous a dit qu'on viendrait vivre ici tous ensemble, mais il y a des gens qui avaient des territoires de chasse, leur rivière ailleurs et c'est comme ça qu'ils ont continué à rester à des endroits fixes et on a fini par se séparer.

    Les Blancs nous ont appelé toutes sortes de noms. Pourtant on leur a rien fait de mal. On leur a fait de la place pour survivre mais ils se sont mis à prendre le contrôle de toutes nos ressources naturelles, la forêt, notre gibier, la chasse, la pêche. Nous autres, notre monde, c'est ici, la Desert, où nos grands ancêtres avaient leurs territoires de chasse. Des gens nous disaient : « vous n'avez pas le droit (de chasser et pêcher)». Il faut une licence pour pêcher (en dépit des traités) . On nous a emprisonné pour ça. Ça change aujourd'hui avec la Cour Suprême (qui reconnait les traités). Ça a pris dix ans à la Cour Suprême pour comprendre. Maintenant on commence à comprendre que c'était mal tout ça et on veut nous redonner le contrôle de la forêt, de la pêche et de la chasse. Ça sera à nous autres d'être obligés de négocier entre nous à l'avenir. Si ça ne se passe pas comme ça, la nature et le monde n'ont pas d'avenir.

    J'aurais aimé vous expliquer bien des choses dans ma langue mais vous ne comprendriez pas. Il a très lontemps, en 1700, la langue algonquine était enseignée. Il y a eu beaucoup de Français qui ont parlé nos langues. J'en ai connu ici. Dans les premiers magasins, autour de 1935-45, les blancs nous parlaient en indien. Mais ça n'existe plus maintenant. La langue indienne, c'est peut-être la seule langue dont je puisse dire qu'elle est bien propre. On ne peut pas employer les mots indiens pour blasphémer contre le Créateur. Quant on est en colère, on va blasphèmer contre nos mauvais esprits. C'est ce qu'était notre vie, et il faut maintenant pousser le racisme de côté et essayer de travailler ensemble, essayer de vivre ensemble. Peut-être qu'on peut sauver le monde, mais le monde n'écoute pas.

    Le pardon

    La Terre-Mère nous parle maintenant. Elle vit la Terre-Mère, elle nous donne la vie. Le Créateur lui a donné la responsabilité de prendre soin du monde et de nous soigner, de nous donner toutes les choses qu'on peut manger pour vivre. Elle a gardé seulement l'eau, les lacs, les rivières. Tous les fruits qu'elle nous rend à chaque été sont gratuits parce que l'argent n'existe pas pour elle. L'argent n'existait pas pour nous. Mais depuis que l'argent est arrivé ici tout va mal. Je ne veux pas critiquer personne. Le Créateur veut que je les aime et je les aime. Et quand je dis que je les aime, ça vient du fond du coeur parce qu’il faut toujours pardonner tout le temps. Si on avait pas pardonné aux voyageurs, on aurait mis des choses dans les édifices fédéraux et provinciaux pour les faire sauter, comme dans d'autres pays où les gens sont en guerre et s'entretuent. Ce n'est pas comme ça qu’on veut vivre, ce n'est pas une solution. La solution est que l'on puisse revenir tous ensemble. Le Créateur veut qu'on soit une personne, la création était faite pour une personne. On s'est divisé en milliers de noms et de religions. C’est plus de la compétition qu'autre chose. Tous disent que le leur Dieu est meilleur que l'autre, que l'autre c'est un démon. C'est ce qu'ont fait les missionnaires quand ils sont arrivés ici. Les missionnaires nous disaient que notre façon de vivre, en remerciant Dieu tout le temps pour toutes les choses qu’il nous donne, comme lorsqu'on allait ramasser les bleuets pour faire des cérémonies, c'était des superstisions.

    Il y a des gens qui se demande pourquoi il faudrait pardonner ? C'est la seule solution, si on ne pardonnait pas, jamais on ne respecterait quelqu'un. Il faut pardonner pour respecter puis aimer. Parfois, c'est difficile de pardonner, c'est difficile parce qu'il y a le passé, il y a ce qui est arrivé à mes ancêtres. Nos enfants ont souffert dans les écoles, ils ont été violés. On pardonne maintenant, on ne va pas brûler les églises pour ça. Il faut pardonner et aimer. Mais quand vous dites à quelq'un « je vous aime », il faut que ça vienne de là (le coeur). Parce que souvent on entend dire « je t’aime » par la bouche alors que le coeur dit « je te hais ». Mais ça ne donne rien de pleurer sur son sort. Il faut aller de l'avant. Je prie pour les gens qui ont fait du mal dans le passé. Je veux pas critiquer personne. Le Créateur veut que nous soyons compatissants. Ce n'est pas d'haïr les autres et de blasphémer contre quelqu'un qui sauvera le monde. J'ai 86 ans, j'ai un petit peu de temps devant moi mais je n'ai pas le temps d'haïr personne. C'est la compassion entre nous qui va changer le monde.

    L'avenir de nos enfants : notre seul bien à sauvegarder

    Il y a beaucoup de choses auxquelles il faut faire attention aujourd’hui. Si on ne change pas la manière de faire on aura bientôt coupé toutes les forêts. Des gens coupent douze mois à l’année, il n'y a pas une journée où ils arrêtent pas de couper du bois, et ils ont des enfants ces gens-là, des petits-enfants. Mais ils ne pensent pas aux enfants, à l’avenir. Il faut qu’ils vivent aussi les jeunes, ils vont aller planter les arbres et ça va prendre 50 ans avant qu'il repoussent et il aura le temps de mourir 10 fois. Les enfants, c’est précieux. Les enfants, c’est important de penser à eux maintenant. Quand on faisait la chasse, on en laissait toujours comme des semences pour les prochaines années. On prennait ce qu'on avait besoin pour vivre. On ne pensait pas à l'argent, on mangeait la viande. C’est bien difficile aujourd’hui de faire comprendre ça aux jeunes. Les jeunes, maintenant ils vont à l'université et au collège, on a même des avocats ici. Ils comprennent, mais pas de là (le coeur). Ils me disent avec leur bouche « ah oui, je suis avec toi », mais de l’autre côté (le coeur), ils pensent à l'argent, parce qu’ils ont appris cette manière de vivre. On va dans l'espace. Pourquoi dépenser autant d'argent alors qu'en même temps, il y a du monde sur la terre dans d’autres pays qui n'ont plus rien à manger. On gaspille des milliards et des milliards de dollars alors qu'on pourrait nourrir les autres et les soigner, pour les enfants. On préfère dépenser l'argent pour n'importe quoi d'autre. En tous les cas il faut leur pardonner et les aimer quand même.

    Je ne sais pas combien de temps le Créateur vas me garder, et je vais un peu partout pour essayer de parler au monde pour qu'on arrête de couper le bois, la forêt, parce qu’ils ont des enfants eux aussi et il faut penser aux enfants. On peut pas couper tout en 2 ou 3 ans et tout raser net pour se retrouver avec rien. Il faut penser à nos enfants parce que nous, on est ici rien qu’un moment, et quand on s’en va, c’est l’autre qui doit continuer. Mais si on détruit toutes ces choses, il ne restera rien pour nos descendants. Et on dit pourtant qu'on aime nos enfants. Si on aime nos enfants, on va penser à leur avenir. Si on détruit tout dans notre temps, quand viendra le temps à nos enfant de vivre, que feront-ils? Il faut y penser sérieusement. La seule solution est de redevenir plus proches et de souvent parler à nos enfants. Le Créateur veut que ça se passe ainsi. Il n'y a pas deux créateurs, il en a pas trois ou quatre, il y a un Créateur pour le monde entier.

    Mon histoire et mes visions : la réunion des peuples du monde

    Je ne suis jamais allé à l’école moi. J’ai vécu dans le bois, j’ai appris comment faire des canots, des raquettes, trapper. J’ai guidé les touristes une quarantaine d’années. Je me rappelle l’année de la crise, en 1930-35, je construisais beaucoup de canots d’écorce, des petits canots et des grands.

    J’ai bu pendant une quarantaine d’années dans ma vie et je me souviens, je n’étais pas un ange. L'alcool fait bien des torts. Mais en 1969, j’ai fait un gros rassemblement ici (Maniwaki) à cause de visions que j’ai eu en 1961. En 1963, j’ai commencé à aller partout pour parler avec les autres. Finalement, on a fait un rassemblement et on a invité tous ces gens qui étaient supposés être nos ennemis depuis des années, les Iroquois.

    J’ai fait le tour du monde entier, j’ai construit un canot pour la reine du Danemark en 1981. J’ai été en Suisse et j’ai assisté à la réunion des nations. Il y avait toutes les races ensemble et moi, comme Indien du Canada, j’étais associé avec les autres pour la guérison du monde entier, pour revenir ensemble, parce que le Créateur veut qu’on parle seulement avec une seule langue quand on dit une prière.

    Je suis allé en Oregon le 20 novembre 1999, à Portland, pour rencontrer The World Religions. Des gens de toutes les régions du monde y étaient présents. C'est comme ça qu'on apprend à vivre ensemble, en rencontrant toutes les races au monde. On parle ensemble et on prie ensemble. Il faut que ça soit comme ça, il n'y a pas d'autres issues.

    Les aînés et les enfants sont plus proches du Créateur. L'aîné redevient un enfant : il ne peut pas s'aider comme quand il avait trente ans. Dans ce temps là j'allais chasser l'orignal. Maintenant, j'ai du mal à monter les escaliers. Je me dis : « comment ça se fait, je portais de lourdes charges déjà et je ne peux même plus porter mon corps ». On devient comme des petits bébés.

    Le tambour

    C'est long rester tout seul ici. Quand je m'ennuie, je prends le tambour et je fais une chanson. Voulez-vous je vous chante une chanson? La chanson dit : « merci Créateur », le père de tous les pères, de nous donner la vie pour s’aimer ensemble. C’est ça ma chanson. Le tambour est en peau de chevreuil. J’en fait moi aussi, j’en ai fait beaucoup que j’ai donné à tout le monde. On ne doit pas vendre le tambour. C’est comme le battement du coeur du Créateur et c’est sacré. Les chants qui se font sont les pensées du Créateur, et les danses sont toujours pour le Créateur.


  • Commentaires

    1
    visiteur_Angélo
    Lundi 8 Septembre 2008 à 21:58
    C est grace a Grand P? William et des personnes comme lui que nous les Blancs,nous pouvons nous guerir de nos maux et gu?r la M? Terre.....
    Sais tu si en Europe il existe des lieux comme en Or?n "The World Religions" ??

    Merci Fr?
    2
    Emmanule
    Vendredi 20 Novembre 2009 à 01:25
    Bonjour, je m'appelle Emmanuel Guyot , j'ai rencontr?rand-p? William il y a 15 ans lors des rassemblements fin juillet il m'a beaucoup apport?.je n'??i pas tant de la vie...je pense toujours a lui... je vie en France, mon regard sur la nature et les hommes a profond?nt chang?r? a ma rencontre avec le peuple Anish-nab?Merci de me permettre d'?ire ces mots et dire a quel point grand -p? William Commanda est important dans ma vie et celle de tant d'autres. Miguech
    3
    ugocharest
    Vendredi 2 Avril 2010 à 04:53
    Merci de ce message d'amour universel. Je ressens votre coeur. Namasté!
    4
    Vendredi 28 Octobre 2011 à 23:26
    Different people in every country receive the loan from different creditors, just because that's simple and comfortable.
    5
    adrien
    Lundi 19 Mars 2012 à 02:56
    tres beau message,dire que 96 pour cent  de la population de mere-terre va disparaitre de la sur-face de la terre et c est les gouvernements de tous les pays qui s organise a cette destructions et le monde ne ce rend pas contre de ce qui va ce passer,le monde pense juste a l argent et il ne ce doute pas que quand il n y aura pas de nourriture que l argent ne ce mange pas.
    6
    Francine
    Mardi 25 Septembre 2012 à 01:28
    Un très beau message de la part du grand-père William Commanda, j'aurais aimé rencontrer Grand-Père  Commanda, mon père l'a rencontré et j'ai une photo de mon père avec lui, mon père était fier de lui et il l'aimait beaucoup. Ça me fait réfléchir mais seulement un peu mais de beaucoup. Nous devons protéger la Mère-Terre et penser à nos enfants, nos petits enfants et aux enfants de nos futurs petits enfants.  J'aime la belle sagesse du grand- père Commanda, il dit vrai, tout est relié, le cercle, quand on redevient enfant. Merci beaucoup grand-père Commanda, je vais suivre tes  enseignements. Mikwetc 
    7
    Flo
    Samedi 10 Novembre 2012 à 23:33
    Le pardon évoqué entre les tribus algonquines et iroquoises est interessant. De même, il évoque les attentats motivés par la haine dans les autres pays et l'état d'esprit pacifiques des premières nations face aux abus. Les sujets soulevés sont très instructifs.Flo
    8
    Flo
    Dimanche 11 Novembre 2012 à 21:27
    J'ai fait un article sur lui sur mon blogFlo
    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :