• bonjour a tous!

    la terre mére a besoin de vous chaque jour !

    je suis jardinier de proféssion dans la commune ou j habite.

    beaucoup vienne me voir et me disent que je suis un chanceu de travailler dans ce milieu .  j aime le contact avec la nature , elle apporte beaucoup de chose quand on la regarde bien! mais la elle est malade , tres malade meme. elle souffre a tel point qu elle se laisse mourir.

    vous qui lisez mon article , esque vous voulez pas faire quelque chose pour elle?

    elle vous donne la vie, elle vous donne votre premier souffle de vie.

    elle vous donne a manger ! elle vous donne tout!

    mais beaucoup l on oubliait !

    pourtant chaque jour n importe qui , pourait dans ca vie de tout les jour faire un ti geste de rien du tout!

    le cercle de priere est un soutient pour notre terre mére ,il est temps aussi de se  mobilisé  en fesant un petit geste dans notre quotidien!

    je vais vous mettre a la suite un petit exposé , pour essayer de vous faire comprendre son mal et notre mal qui risque de nous faire disparaitre si on ne fait rien!

    si vous avez des enfants , esque vous avez pensez a leur avenir? quesque vous allez leur laisser. c est eu notre futur ! montrer leur les bon geste et le respect envers la terre ! il faut le faire maintenant!faite leur comprendre!!!! reveillez vous!

    revenez vers la terre mére , laissez un peu de coter votre cocon quotidien!

     

     

     


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  • Nanabozo vole le feu


    Adapté d’un conte amérindien.

    Chez plusieurs nations amérindiennes un mythe raconte comment le peuple a pris possession du feu. Pour les Ojiboués, le monde a été créé par Nanabozo, fils d’un esprit céleste et d’une femme de la Terre.

    Les Ojiboués ont longtemps occupé un vaste territoire le long de la rivière des Outaouais et autour du lac Supérieur dans ce qui est devenu la province voisine de l’Ontario. Nanabozo avait le pouvoir de se transformer en arbre ou en animal et c’est ainsi qu’il a ramené le feu pour les siens.

    Il y a très longtemps le feu n’était pas connu dans le pays de Nanabozo et il avait très froid.

    - Nokomis, demanda-t-il à sa grand-mère, n’y a-t-il pas quelque chose dans le monde qui peut nous réchauffer ?

    - J’ai entendu dire, répondit la grand-mère, que quelque part dans l’est, près des grandes eaux, vit un vieux sachem* avec ses filles. Ces trois-là ont chaud car ils possèdent une chose appelée le feu. Mais il paraît que cet homme cache le feu de la vue de tous et le conserve jalousement.

    - Je vais trouver cet homme, s’écria Nanabozo, et je vais ramener le feu pour nous.

    - Je doute que tu réussisses, dit Nokomis. Ces gens surveillent leur feu jour et nuit. Le vieux reste assis toute la journée dans son wigwam à réparer ses filets et à garder le feu. Il ne sort jamais. Seules ses deux filles se promènent dehors.

    - J’essaierai quand même, dit Nanabozo.

    Nanabozo établit un plan. « Voilà ce que je vais faire, pensa-t-il, je vais transformer l’eau du lac qui voisine le wigwam du sachem* en une glace mince comme l’écorce du bouleau. Ensuite, je vais me changer en petit lapin assez léger pour que je puisse marcher sur cette glace fine. Voilà ce que je vais faire ! »

    Nanabozo salua sa grand-mère Nokomis, et partit. Il marcha vers l’est pendant des jours et des jours. Il arriva bientôt devant un lac au bord duquel s’élevait le wigwam du vieux sachem*. Aussitôt, grâce à ce pouvoir qu’il avait, il transforma l’eau du lac en glace fine et se transforma lui-même en un tout jeune lapin.

    Nanabozo se cacha pour pouvoir observer le wigwam et attendit. Quand il vit l’une des filles sortir du wigwam pour aller vers le lac, Nanabozo sortit de sa cachette et s’approcha d’elle. Puis il s’arrêta et se mit à grelotter très fort.

    - Pauvre petit lapin ! s’écria la jeune fille. Viens te réchauffer.

    Et aussitôt elle prit le lapin dans ses mains et l’emporta dans son logis en l’abritant sous sa veste. Lorsqu’elle fut entrée, elle fit voir le jeune lapin à sa sœur. Toutes les deux se mirent à jouer avec lui pour s’amuser.

    - Arrêtez ce bruit, fit le père.

    - Mais père, on s’amuse avec le lapin.

    - Enfants, que vous êtes étourdies ! s’écria le vieux sachem*. Avez-vous oublié l’existence des manitous ? Ce lapin en est peut-être un qui vient voler notre feu. Allez ! renvoyez cette bête où vous l’avez trouvée !

    - Voyons, père ! ce petit lapin n’est sûrement pas un manitou. Il est juste un petit animal sans défense, dit la plus jeune des filles. Un manitou ne se changerait pas en un animal si faible.

    - Vous refusez de m’écouter ! se fâcha le vieux. Vous oubliez mon grand âge et ma sagesse.

    La plus jeune des filles fit semblant de ne pas entendre les mots prononcés par son père. Elle déposa en souriant le petit lapin près du feu pour qu’il se réchauffe.

    « Maintenant que ma fourrure est sèche, pensa Nanabozo, je souhaite qu’une étincelle vienne l’enflammer. » Et comme il arrive toujours avec Nanabozo, son voeu se réalisa. Une étincelle s’échappa des bûches enflammées et mit le feu à son pelage. Aussitôt, Nanabozo s’élança dehors et courut à toute vitesse vers le lac.

    - Regardez père ! crièrent les filles, il s’enfuit avec le feu !

    - Vous voyez bien que j’avais raison de me méfier, dit le vieux en courant derrière l’animal. C’est sûrement un manitou qui est venu voler le feu.

    Le vieux sachem* se mit à courir après Nanabozo, mais la glace céda dès ses premiers pas et ses filles eurent beaucoup de mal à le sortir de l’eau. Pendant ce temps, Nanabozo avait couru à perdre haleine et arrivait en vue de son logis.

    - Nokomis ! cria-t-il. Vite, Nokomis ! Transfère ce feu à des branches.

    Nokomis se précipita vers lui et fit comme il demandait, sans hésiter. Puis Nanabozo réussit à éteindre le feu de son pelage en s’aidant de ses pattes. Content de voir brûler les branches, il s’examina en riant.

    - Dorénavant, dit-il à Nokomis, chaque été les lapins auront le pelage comme le mien pour rappeler aux hommes comment le feu est venu jusqu'à eux dans ce pays.

    Nanabozo reprit sa forme humaine et, cet hiver-là, lui et Nokomis eurent très chaud.

    http://epe.lac-bac.gc.ca/100/205/301/ic/cdc/matawinie/etiologiques/Nanabozo.html


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  • Les Innus tenteront de faire annuler les permis temporaires des forestières

    Les Innus de Pessamit ont confirmé qu'ils tenteraient de faire annuler les permis temporaires émis vendredi aux 28 compagnies forestières présentes sur leur territoire de la Côte-Nord, rapporte la Presse canadienne.

    Ils déposeront à cet effet une demande en révision judiciaire pour faire casser la décision du gouvernement du Québec.

    Les autochtones reprochent à l'État d'avoir bafoué son obligation constitutionnelle de les consulter et de les accommoder avant d'autoriser l'exploitation de leurs ressources naturelles.

    Cette obligation a récemment été confirmée par la Cour suprême du Canada dans des décisions touchant des Premières Nations de l'Ouest canadien.

    «Nous sommes entrés de bonne foi dans les discussions avec le gouvernement, mettant de côté pour un temps notre demande de supervision judiciaire. Voilà où cela nous a conduit: les pourparlers ont été interrompus par le gouvernement», a ragé le chef Raphaël Picard.

    D'après les Innus, le gouvernement a agi de manière cavalière en rejetant leur proposition. Le ministère des Ressources naturelles aurait même omis d'informer le Procureur général du Québec de sa décision de renouveller les permis.

    «En ce qui nous concerne, rien ne subsiste du peu de confiance qui nous restait en la bonne foi du gouvernement. Une fois de plus le débat devra se déplacer devant les tribunaux», a souligné le chef Picard.

    Vendredi, Québec disait avoir agi pour éviter que la vie économique de la Côte-Nord soit paralysée. Les permis 2005 des compagnies, parmi lesquelles figurent Abitibi-Consolidated (A) et Louisiana-Pacific, venaient en effet à échéance le 31 mars.

    Les autorisations émises vendredi ne portent toutefois que sur un volume restreint de bois, qui devrait être suffisant pour alimenter les scieries pendant quelques mois. Le gouvernement espérait utiliser cette période pour continuer ses négociations avec les Innus.

    La bande de Pessamit réclame déjà 3,1G$ aux gouvernements du Québec et du Canada en dédommagement pour les travaux forestiers exécutés sur son territoire au cours des dernières décennies.

    Les autochtones poursuivent en outre la compagnie Kruger pour l'empêcher de couper des arbres sur l'île René-Levasseur, située dans le réservoir Manicouagan.

    source: forrum la tribu callumet (voir mes liens)


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  • industrie forestière :Paysages en mutation
    Normand Thériault
    Édition du mercredi 1er mars 2006
     
    Il y avait au Québec une forêt, inépuisable pensait-on. Puis il y eut un film, un rapport. Et l'on constate que l'homme et l'arbre ne font pas bon ménage. Pourtant, c'est par centaines de milliers que l'on compte les Québécois qui vivent de cette ressource première qu'est le bois
    Cabano, vous vous souvenez ? Peut-être pas. De ce petit village, toujours là sur les bords du lac Témiscouata, mais à l'apparence complètement transformée depuis que sa scierie, qui avait survécu auparavant à un incendie majeur ayant rasé en ce début des années 1950 une grande partie du village, est disparue. Une autre victime donc, aussi causée par la rareté avec le temps d'une ressource première, le bois. Les berges du grand lac ont ainsi été rendues accessibles aux citoyens de ce village, qui s'est développé autour de sa source première d'emploi, l'église, quant à elle reléguée avec son cimetière en haut de la côte, veillant ainsi de loin aux intérêts de ses ouailles. Ce Cabano oublié ? Sûrement pas par le nouveau ministre de l'Environnement et du Développement durable, député élu de cette circonscription où le bois a été pour ses commettants la principale source de revenus : Claude Béchard est né dans ce coin de pays où qui parle d'entreprise raconte une richesse générée par l'exploitation des ressources naturelles.
    Les Bûcherons de la Manouane, cela vous dit-il quelque chose ? Avez-vous en tête ces images où l'on voit ce campement indien, itinérant, qui débroussaille ces restes de forêt que les «vrais» bûcherons lui ont laissés pour assurer sa maigre pitance ? Ce film d'Arthur Lamothe rendait hommage à ces Québécois qui ont été longtemps le symbole d'un peuple travailleur ne craignant pas cet effort qui seul permet la survie.
     
    L'Erreur boréale ? Tous connaissent en terre québécoise ce film de Desjardins, ce chanteur-cinéaste-poète dont le projet actuel est d'étaler sur la place publique le triste sort réservé à 8000 Algonquins dont le territoire ancestral subit présentement les coups portés par les avancées d'une autre industrie d'exploitation de ressources, cette fois-ci les mines. Ce documentaire a d'ailleurs eu un tel impact qu'à sa suite une commission a été mise sur pied et que des droits de coupe ont été fortement réduits, conséquence des conclusions auxquelles le «rapport Coulombe» en était arrivé.
     

    Des milliards en jeu
     
    Le Québec est un vaste territoire. Les ressources naturelles y abondent. La taille de sa forêt représente ainsi l'équivalent de plus des deux tiers de toutes les forêts scandinaves. Son exploitation, conjuguée à celles des mines et plus tard de l'eau, explique historiquement que, des bords du fleuve, le peuplement a débordé vers des terres pauvres pour le rendement agricole et au climat à tout le moins rigoureux.
    Avons-nous toutefois le bois en mémoire qu'il faut voir son importance sur la vie économique et sociale des régions. C'est ce à quoi s'applique Guy Chevrette, cet ancien ministre devenu président et directeur général du Conseil de l'industrie forestière du Québec, quand il analyse les conséquences de toute modification aux règles actuelles : «Il y a d'abord des milliers d'emplois qui sont en jeu, lesquels sont de grande qualité et très rémunérateurs. Deuxièmement, ce sont des drames humains vécus dans les régions. Troisièmement, je dirais que c'est carrément la balance commerciale du Québec qui va commencer à chuter; elle affiche un surplus de cinq milliards de dollars parce que l'industrie forestière y contribue pour 10 milliards. Demain matin, elle serait déficitaire de cinq milliards si on n'existait pas.»
    La situation actuelle, dramatique, s'explique de plus d'une manière. D'autant plus qu'au Québec, qui dit bois dit papier. Et le dicton américain «What is good for General Motors is good for America» aurait pu ici se traduire par «Ce qui est bon pour la Consol (ou l'International Papers) est bon pour le Québec». Dans les deux cas, une gestion où le paiement de dividendes primait sur la recherche et le développement, de même que le recours continuel à des formules pourtant jugées ailleurs «dépassées», explique que des usines doivent aujourd'hui fermer. Aussi, il faut admettre que la surexploitation de la ressource, jusqu'à son gaspillage, a atteint son terme. Le modèle américain, qui prime toujours dans le secteur énergétique, n'a plus sa place : on entrevoit déjà le jour où l'exploration ne permettra plus de trouver de nouveaux lieux qui fourniront ce que l'on perd en fumée, d'un côté, et en gaz à effet de serre, de l'autre. Pour l'industrie forestière québécoise, ce jour est arrivé.
    Des régions en transformation
    L'industrie le sait. Et dans les universités, on s'applique à inventer de nouveaux procédés. Chez un grand «joueur» du secteur, Cascades, on produit toujours, s'appuyant toutefois sur une politique de recyclage, sauvant ainsi des forêts vieillissantes. Mais il faut faire encore plus.
    La population sera-t-elle d'accord ? Un indice est éclairant : dans les collèges régionaux, là où sont dispensés des DEC en formation forestière et autres secteurs connexes, les programmes qui tiennent la route sont ceux qui ont une saveur écologique. Car le bois a perdu la cote auprès des jeunes et cela est grave : des milliers d'emplois seront bientôt à combler et seuls les «aînés» semblent le savoir, les jeunes regardant ailleurs, ou quittant tout simplement leur territoire natal.
    Il ne faudra donc pas se surprendre si un jour on découvre que ces sont les «Indiens» des temps modernes qui sont devenus les maîtres de la forêt. Et que, pour de grandes régions, place sera faite aux villégiatures et aux «Skidoo» là où il y avait au départ campements et chenillettes.
     
     

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  • Les Guerriers de l'arc-en-ciel : La prophétie



    Les ancêtres (avant les 15e et 16e siècles) indiens (surtout les Cris) racontaient que des hommes à la peau claire arriveraient de la mer orientale sur de grands canoës mus par d'énormes ailes blanches comme des oiseaux géants. Les hommes qui débarqueraient de ces navires ressembleraient aussi à des oiseaux (sans doute à cause des étranges armures ou du fait que les Espagnols se déplaçaient à cheval, qui était inconnu à l'époque dans les Amériques), mais ils auraient deux pieds différents. Un de leurs pieds serait comme une patte de colombe, l'autre comme la serre d'un aigle.

    Le pied de la colombe représenterait une belle religion nouvelle d'amour et de bonté (le christianisme), tandis que le pied de l'aigle représenterait la soif de richesses matérielles, la puissance technologique et la guerre. Au temps des conquistadores, de Cortès, les nations indiennes ont été étonnées de voir la folie des Espagnols pour l'or. En effet, pour les indigènes, l'or n'y était apprécié que pour sa beauté pure et n'avait aucune valeur marchande. Pour la petite histoire, le vol de l'or n'a pas servi la cause espagnole, car d'une part, beaucoup de galions ont été coulés par les pirates et les corsaires anglais ou français, et, d'autre part, l'afflux d'or a surtout développé une incroyable inflation en Espagne, inflation qui a mis à mal l'économie espagnole de l'époque.

    Pendant de nombreuses années, la serre de l'aigle dominerait, car les nouveaux venus parleraient certes beaucoup de religion, mais tous ne vivraient pas pour elle. Ils déchireraient les nations rouges de leurs pattes d'aigle, tuant, exploitant et réduisant les hommes en esclavage.

    Après avoir résisté comme ils le pourraient, les nations indiennes perdraient leur esprit et se laisseraient parquer dans des enclaves de plus en plus petites (les traités de paix en Amérique du Nord, systématiquement brisés par les colons anglo-saxons et l'armée nord américaine).

    Il en irait ainsi pendant des siècles. Mais ensuite arriverait un temps où la terre deviendrait très malade. À cause de l'avidité sans bornes de la nouvelle culture, le sol se gorgerait de liquides mortels et de métaux lourds, l'air se chargerait de fumées nauséabondes et de cendres, et même la pluie, censée nettoyer la terre, s'abattrait sur elle en gouttes empoisonnées (les pluies acides). Les oiseaux tomberaient du ciel (prophétie des Indiens d'Amazonie, notamment, déjà accomplie), les poissons flotteraient le ventre en l'air et des forêts entières viendraient à mourir.

    Quand ces choses viendraient à se produire, le peuple indien serait d'abord impuissant.

    Mais alors, une nouvelle lumière viendrait de l'est, et les Indiens commenceraient à retrouver leur force, leur fierté et leur sagesse. La prophétie disait qu'ils seraient aussi rejoints par nombre de leurs frères et sœurs à la peau claire, qui seraient en fait les âmes réincarnées des Indiens tués ou réduits en esclavage par les premiers colons aux visages pâles. Il était dit que les âmes mortes de ces premiers hommes retourneraient dans des corps de couleurs différentes : rouge, blanc, jaune et noir. Ensemble et unis, comme les couleurs de l'arc-en-ciel, ces hommes enseigneraient à tous les peuples du monde comment aimer et vénérer la Terre Mère, dont la matière même est celle qui nous compose aussi, nous autres, humains.

    Sous le symbole de l'arc-en-ciel, toutes les races et toutes les religions du monde s'uniraient pour répandre la grande sagesse de la vie en harmonie les uns avec les autres et avec toutes les créations de la terre.

    Ceux qui porteraient cet enseignement seraient appelés les « guerriers de l'arc-en-ciel ».

    Ils seraient des guerriers, mais ils auraient aussi avec eux les esprits des ancêtres, ils auraient la lumière de la connaissance dans leurs têtes et l'amour dans leurs cœurs. Ils ne feraient de mal à nul autre être vivant. La légende disait que, après un grand combat mené avec la seule force de la paix, ces guerriers de l'arc-en-ciel finiraient par mettre un terme à la destruction et à la profanation de la Terre Mère et que la paix et l'abondance régneraient ensuite pour un âge d'or long, joyeux et paisible, ici sur la Terre Mère.

    C'est un résumé de la prophétie crie (Amérique du Nord) des guerriers de l'arc-en-ciel, commune, sous une forme ou une autre, à la plupart des nations indiennes. Quelques commentaires ont été ajoutés, mais on retrouve cette prophétie telle quelle dans « Le mystère des crânes de cristal », ainsi que d'autres développements instructifs sur ce sujet précis.

    Cette prophétie est d'actualité, d'une actualité brûlante.

    Depuis l'ouverture des pays de l'Est, la spiritualité y connaît une croissance exponentielle. Il y a des églises et des sectes, comme partout ailleurs, certes, mais des termes comme « énergie vitale » sont des réalités quotidiennes meublant bien des conversations. Il en va de même pour des concepts tels que « fenêtres multidimensionnelles », « 2012 », « ascension », etc. Cette croissance est bien plus forte que dans les pays occidentaux, où le cartésianisme mal interprété et le consumérisme effréné ont réussi à camoufler les vérités ancestrales et à anesthésier complètement les populations, surtout en France, où la chasse aux sectes est une véritable obsession « tous azimuts ». Un mauvais développement souvenir, toujours présent, de l'inquisition. Or, il n'existe qu'une seule secte : celle de la « pensée unique », du « matérialisme », de la « compétitivité économique » et autres absurdités du même acabit.

    L'Afrique est bien plus éveillée que ce que rapportent les médias occidentaux. Quant à l'Asie, comme chacun sait, elle possède une tradition multimillénaire en matière de spiritualité.

    L'Amérique du Nord étant sous haute surveillance depuis certains événements aussi malencontreux qu'inutiles, c'est surtout d'Europe, de l'Est comme de l'Ouest, que vient le changement, l'éveil de la conscience. Il n'y a pas de véritable centre géographique mondial. Les « guerriers de l'arc-en-ciel » sont de toutes les cultures, de toutes les races, de toutes les nations.

    C'est l'éveil de la conscience

    http://silver-wolves.com/articles/guerriers-arc-en-ciel-prophetie.htm


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