-
sauvegarder la langue malécite pour les générations futures.
FREDERICTON (PC) - Des chercheurs de l'Université du Nouveau-Brunswick tenteront de sauvegarder la langue malécite pour les générations futures.Ils prévoient créer des capsules d'histoires malécites afin qu'elles soient accessibles au public dans le futur. Actuellement, il n'y aurait qu'une centaine de personnes qui parlent couramment cette langue autochtone au Nouveau-Brunswick. La plupart sont âgées.Imelda Perley, une professeure malécite, a lancé ce projet, ajoutant qu'elle ne pouvait pas faire le travail seule.
C'est pourquoi elle travaillera avec les chercheurs Evelyn Plaice, David Perley et John Valk du Collège Renaissance.
Ensemble, au cours des trois prochaines années, ils ont planifié enregistrer des conversations avec des gens parlant couramment la langue malécite.
-
Commentaires