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    Il ne suffit pas que d'écouter cette video mais il faut aussi la vivre et bien écouter ce beau message d'unité .

    Voici quelque phrase que j'ai retenu :

     

    -" L'unité qui rassemble , La diversité qui enrichi".

     

    -"Dans chaque champs du monde , elle voulait graver une alliance, une reconnaissance ".

     

    .-" Dans chaque langue , elle voulait apprendre la part d'artirité , d'intiligence , d'humanité. Elle disait que cela été ca la plus belle promesse d'avenir de paix de richesse du monde ."

     

    "-L'homme n'est ni grand , ni petit ,il a la taille de ce qu'il sait AIMER et RESPECTER ."

     

    -"Toute la vie , il faut apprendre a être l'inviter de l'autre ,l'inviter du MONDE , que c'était cela l'hospitalité.Le chant d'amour qui fait pleurer ,les yeux d'un peuple ne peut a tout jamais laisser indiferent l'ame du monde. C'est cela ca Paix ."

     

    -"Ce soir entre la mer et l'ocean , il y a peut etre quelque lumière de plus dans la main de la terre . La ou rien n'est séparer , la ou se reconnaisse toute les dignité du monde . Tout ces pays disperser par le vent , le chant de blé dans la poche des paysans . Et l'ocean qui na plus que frontière ,que la graine emporter par une main d'enfant.........

     

    -"Elle disait que cette beauté la, été INVINSIBLE ."

     

    a méditer

     


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    "Freedom est le nom de cette aigle femelle. Jeff est celui qu’il a sauvé en 1998. Freedom et Jeff sont ensemble depuis 10 ans. Freedom était très mal en point, lorsque Jeff l'à trouvée et, lorsqu’il est allé la porter d’urgence chez le vétérinaire, elle avait les deux ailes brisées, dont l’aile gauche brisée à quatre places.

     

    Freedom était condamnée. Jeff décida d’en prendre soin et de lui donner une seconde chance, car le vétérinaire voulait l’euthanasier. Il est assez rare que les aigles survivent, lorsqu’ils sont blessés.

     

    

    Freedom se laissait aller vers la mort, Jeff était certain qu’elle y passerait. Mais le lendemain lorsqu’il retourna la voir au centre, elle se tenait debout, droite, fière et bien vivante. La guérison a pris entre quatre à huit semaines avant qu’elle soit remise complètement de ses blessures. Il était bien certain que Freedom n’allait jamais voler de nouveau, mais Jeff décida de la garder quand même avec lui. Ils devinrent deux amis inséparables.

     

    Au printemps 2000, Jeff fût diagnostiqué avec un cancer. Jeff reçut des traitements de chimio durant huit mois. Tard en novembre 2000 après la fête de l’Action de grâce, le cancer de Jeff persistait toujours après plusieurs mois de traitements. Un jour Jeff, découragé, pris Freedom et alla dehors marcher pour prendre un peut d’air frais. Freedom regarda Jeff et avec son bec délicatement toucha les lèvres et le nez de Jeff comme pour lui donner un baiser. La nuit suivante, Jeff vit Freedom dans son rêve. Elle venait l’aider à combattre son cancer en enveloppant Jeff de ses deux ailes. Le lundi suivant, lorsque Jeff alla chez son médecin, ce dernier lui annonça une bonne nouvelle. Son cancer était en rémission. Quelques mois après Jeff était complètement guéri.

     

    Quelques années plus tard, un homme étant atteint d’un cancer, rendit visite à Jeff et Freedom. Lorsqu’il vint en face de Freedom, il tomba à genou. Freedom ouvrit les ailes, comme si elle voulait envelopper l’homme. Quelques semaines après, le cancer de cet homme était en rémission.

     

    Plusieurs personnes qui sont malades viennent visiter de temps à autre Freedom et ressentent la force passée en eux à travers cet aigle.

     

    Jeff à plusieurs histoires de ce genre. Vous pouvez y croire, comme ne pas y croire, libre à vous."


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  • les luttes des Navajo pour faire reconnaître leur médecine traditionnelle.

    Cela n'a pas toujours été facile pour eux... Un grand merci pour cette lectrice de mon blog qui a partager sont travail  .
    Très bon travail dans le respect et l'écoute  Bravo !

    A visiter .... http://www.medecine-et-navajo.fr/profile<wbr></wbr>.html 

    Professeur d'anglais et docteur en civilisation américaine, j'ai consacré quatre ans à l'étude des Navajo: leurs rituels et cérémonies, les processus d'acculturation à l'oeuvre dans la réserve, leur interaction avec les missionnaires et les médecins non-navajo.

    Je m'intéresse principalement à l'évolution, en milieu hospitalier, de la relation patient-soignant  lorsque celle-ci met à jour des interactions entre des groupes que l'on peut considérer comme dominés, car issus de minorités ou soumis à des politiques restreignant leurs libertés, et d'autres comme dominants (par leur statut social ou leurs connaissances techniques et scientifiques).

    Cette dichotomie peut paraître réductrice mais elle permet de poser le problème de l'instrumentalisation de la pratique médicale. L'hôpital n'est pas un lieu neutre: comme tout site où se rencontrent détenteurs d'un savoir et usagers à la recherche d'un service, histoires personnelles, représentations mentales, disparités culturelles et sociales entre individus colorent les objectifs institutionnels affichés et les interactions de tous.

    Mon étude du système de santé navajo portait principalement sur la transmission des savoirs rituels et scientifiques en territoire navajo. Elle a été publiée en mai 2009 aux éditions de L'Harmattan, collection 'Acteurs de la Science'.

    Ce site propose des extraits du livre mais surtout, des témoignages, des documents (scans d'archives, photographies) qui ne figurent pas dans la version publiée. Il s'agit donc d'un complément riche d'images et d'illustrations à un ouvrage qui, non seulement constitue une excellente porte d'entrée pour comprendre la cosmogonie, l'étiologie et les cérémonies navajo mais retrace également de manière précise l'épopée des soins médicaux dans la réserve.


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  • Aller voir l'article a cette adresse : http://www.journalmetro.com/linfo/article/600264--autochtones-des-droits-toujours-a-defendre--page0

    MATHIAS MARCHAL

    <script language=javascript type=text/javascript> document.write(ProcessCreditLine_fr("MÉTRO","http://static.metronews.topscms.com")); </script> MÉTRO
    Publié: 11 août 2010 00:00
    Mis à jour: 10 août 2010 20:38
     

     

     

     

     
    Trois ans après sa promulgation, la Déclaration des Nations unies sur les droits des peuples autochtones n’a toujours pas été signée par le Canada. C’est ce qu’ont dénoncé en début de semaine Amnistie internationale et le chef de l’Assemblée des Premières Nations, Shawn A-in-chut Atleo, alors qu’était célébrée la Journée internationale des Premières Nations. «Le Canada a le mérite de s’être engagé à appuyer la Déclaration dans le discours du Trône en mars a rappelé le chef national. Nous avons hâte de collaborer avec le gouvernement pour mettre en œuvre la Déclaration et nous croyons que cela devrait être fait dans un avenir très rapproché.»

    Amnistie internationale (AI) déplore de son côté l’hypocrisie des gouvernements qui se succèdent à Ottawa. «Depuis 1867, les expropriations et les ventes illégales ont entraîné la perte d’environ deux tiers des terres des “réserves” que le gouvernement s’était engagé à garder pour l’usage exclusif des Premières Nations», déplor­ait récemment l’organis­me dans un rapport sur le sujet.

    Selon AI, l’incapacité des gouvernements canadiens à respecter et à protéger les droits des peuples autochtones à des terres et territoires a été un élément déterminant de l’appauvrissement des Premiè­res Nations. Au Québec, les Cris sont ceux qui sont allés le plus loin dans la signature d’ententes avec le gouvernement. Hasard ou non, ces derniers sont les plus prospères parmi les 11 nations autochtones qui peuplent la province.

    Quelques points
    • En septembre 2007, l’ONU adopte la Déclaration des droits des peuples autochtones.
       
    • Cette déclaration (non contraignante) stipule notamment que les peuples autochtones ne peuvent être expulsés de leurs terres.
       
    • Quatre pays ont alors exprimé leur opposition.
       
    • L’Australie et la Nouvelle-Zélande sont rentrées dans le rang, en 2009 et en 2010 respectivement.
       
    • Le Canada explique son refus de signer la Déclaration par le fait qu’elle entre en contradiction avec sa Constitution ainsi qu’avec la Charte des droits et libertés.

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