• Maison d’hébergement et de ressourcement pour femmes autochtones en difficulté et leur famille<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

    177, 71ème rue, Québec (Québec) G1H 1L4   Tél. : 418-627-7346<o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

     Pour diffusion immédiate<o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    Chloé Sainte-Marie et Joséphine Bacon dévoilent les grandes lignes du<o:p></o:p>

    spectacle Mishta Amun - Le grand rassemblement<o:p></o:p>

    au profit des femmes autochtones de la région de Québec <o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    Québec, le 6 février 2008 - La chanteuse Chloé Sainte-Marie et la conteuse et réalisatrice Innue Joséphine Bacon ont dévoilé ce matin le contenu du spectacle Mishta Amun - Le grand rassemblement, qui se tiendra le samedi 24 mai 2008 au Palais Montcalm de Québec, pour appuyer la Maison Communautaire Missinak à Québec, une ressource venant en aide aux femmes autochtones en difficulté et leurs enfants, en milieu urbain. <o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    L’annonce de ce «grand rassemblement» (c’est ce qu’évoque Mishta Amun en ancien innu) s’est faite en présence des principaux partenaires, des porteuses du projet de la Maison Communautaire Missinak, Pénélope Guay et Nathalie Nika Guay, et d’un bon nombre de femmes autochtones vivant en milieu urbain.   <o:p></o:p>

    Le spectacle Mishta Amun se présente comme un événement d’éveil, d’émotion et d’alliance. Il rassemblera des artistes de plusieurs nations autochtones, profondément engagés envers leur culture, ainsi que des artistes québécois solidaires: Bryan André (Innu), Joséphine Bacon (Innue), Bertha Basile (Innue), Patrick Gros-Louis et Samuel Savard (Wendat), Elisapie Isaac (Inuit), Laura Niquay (Attikamekw), Claire Pelletier (Québécoise), Akinisie Sivuarapik et Marie Belleau (Inuit), Samian (Anishinabe), Chloé Sainte-Marie (Québécoise) et Florent Vollant (Innu). Gilles Sioui (Wendat) et ses musiciens accompagneront les différents interprètes tout au long de cette soirée. La mise en scène de l’événement est confiée au metteur en scène et dramaturge Patric Saucier. <o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    «Les artistes autochtones du spectacle Mishta Amun invitent le grand public à participer à une véritable fête d’éveil de la conscience et du coeur, a expliqué Chloé Sainte-Marie, co-porte-parole de cet événement avec Joséphine Bacon.  Nous voulons inciter la population à poser un geste d’alliance à l’égard des femmes autochtones qui sont souvent aux prises avec de multiples difficultés et qui viennent reprendre leur élan, en milieu urbain.» <o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    En effet, huit femmes autochtones sur dix sont victimes de violence conjugale, comparativement à trois femmes sur dix chez les non-autochtones, et 73 % des femmes autochtones cheffes de famille monoparentale vivent en deçà du seuil de pauvreté. L’effondrement des valeurs familiales et les blessures d’attachement résultant du régime des pensionnats ainsi que l’impact du colonialisme sur le territoire, sur les valeurs et sur la culture traditionnelle, expliquent en majeure partie la violence qui sévit dans les communautés autochtones. <o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    «Notre organisme a été fondé en 2002 et depuis nous travaillons d’arrache-pied pour offrir aux femmes autochtones et à leurs enfants un lieu d’hébergement et de ressourcement sécuritaire, adapté à leurs valeurs et à leur culture, et où elles peuvent être accueillies dans leur langue, explique Pénélope Guay, une des deux porteuses du projet. Notre mission, c’est de permettre à ces femmes d’entamer un processus de guérison afin qu’elles retrouvent la fierté et la dignité dont témoignaient leurs ancêtres», a encore précisé Mme Guay.   <o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    Le Ministère de la Santé et des Services sociaux assure les frais de fonctionnement de cette maison d’hébergement, la première du genre dans la région de Québec.  La Société d’habitation du Québec est également partenaire de ce projet. Le spectacle vise à recueillir 90 000$, ce qui représente une partie des fonds nécessaires à la rénovation et à l’aménagement intérieur de la maison, l’organisme ayant déjà amassé 55 000$. Enfin, le Ministère de la Culture, des Communications et de la Condition féminine et la Caisse d’économie solidaire Desjardins se sont associés à l’événement à titre de partenaires majeurs.     <o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    «Nous voulons offrir un spectacle de qualité, à l’image de nos actions, conclut Mme Guay.  Nous souhaitons de tout cœur que le contexte du 400e anniversaire de Québec, qui ravive l’histoire, soit de nature à non seulement sensibiliser la population aux sources des difficultés des femmes autochtones, mais aussi et surtout à nourrir une volonté d’alliance afin d’entamer une véritable démarche de rétablissement individuel et collectif.»<o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    Les billets à 35 $ (balcon) et à 75 $ (parterre) sont mis en vente dès aujourd’hui sur le réseau Billetech (418-643-8131 ou 418-691-7211) et à la billetterie du Palais Montcalm (418-641-6040 ou 1-877-641-6040).

     

    Relations de presse :<o:p></o:p>

    Communications Paulette Dufour (418) 525-5455<o:p></o:p>

    http://www.surscene.qc.ca/paulettedufour.htm<o:p></o:p>

    pdufourcom@videotron.ca<o:p></o:p>


    votre commentaire
  • L'odyssée du 8ième feu est un site Web racontant une véritable saga épique de l'Amérique du Nord dans notre ère.
    Comme un pèlerin, Steven McFadden vous invite à venir sur le long de l'odyssée: la longue histoire de leur sacré passage à pied à travers l'Amérique du Nord de l'Est Porte de l'Atlantique à la Porte Ouest du Pacifique.

    l'Odyssée est aussi l'histoire de leurs rencontres avec des dizaines de traditionnelle, les aînés tirés de l'Amérique du Nord, ainsi que d'une réflexion collective de leur  passage de l'ancien temps , d'une nouvelle époque.

    Reconnaissant que l'Odyssée de la 8e feu est une longue et difficile quête spirituelle, de nombreux lecteurs choisissent d'avancer étape par étape. Ils lisent le compte d'un jour de pèlerinage à la fois, en revenant le lendemain progressant un peu plus loin, ce qui l'émulation de l'état d'avancement des pèlerins pendant les nombreux mois traversant le vaste dos de l'Île de la Tortue (Amérique du Nord).
    Steven McFadden
    site en anglais

    votre commentaire
  • fevrier 2002

    « Il y a la réalité d'une société juste et hautement développée, que la communauté internationale connaît, puis la dure et implacable réalité qu'endurent les peuples autochtones. »
    — Matthew Coon Come, dans le cadre de la Conférence mondiale sur le racisme.

    Voici un documentaire du  site de radio canada que j'ai trouvé . Quesque vous en pensez , vos commentaire  , vos réactions ? 

    http://www.radio-canada.ca/nouvelles/dossiers/autochtones/index.html


    votre commentaire
  • Forum sur l'enfance et les jeunes des Premières nations
    Préparer l'avenir
    Mise à jour le jeudi 21 février 2008, 15 h 25 .


    Des enfants autochtones
    Des enfants autochtones.
    Les 20 et 21 février, la ville de Québec accueille le Forum sur l'enfance et les jeunes des Premières nations. Cette rencontre, qui réunit plus de 300 intervenants, est une suite du Sommet québécois sur les autochtones qui s'était tenu à Mashteuiatsh à l'automne 2006.

    Le forum permet, précise le vice-chef aux relations communautaires du Conseil des Montagnais du Lac-Saint-Jean, Sébastien Kurtness, de relever les difficultés économiques et sociales des communautés autochtones qui ont une incidence directe sur la vie des jeunes. Après quoi, ajoute-t-il, les participants avancent des pistes de solutions pour améliorer les conditions de vie de la jeunesse amérindienne.

    « Il faut s'attaquer à ces problèmes-là pour permettre à nos jeunes de s'en sortir. D'ailleurs, la meilleure façon de le faire c'est de revoir notre façon de travailler. Il faut se mobiliser. Il faut travailler ensemble au niveau de la santé, des services sociaux et de l'éducation », défend-il.

    L'éducation, insiste M. Kurtness, est essentielle puisqu'elle ouvre de nombreuses perspectives aux jeunes.

    http://www.radio-canada.ca/regions/est-quebec/2008/02/21/005-forum-autochtones-jeunes.asp

    votre commentaire
  • Innus du Labrador
    L'enfance sous tutelle
    Mise à jour le lundi 18 février 2008, 17 h 17 .


    La réserve de Natuashish
    Photo: PC/Andrew Vaughan
    La réserve de Natuashish
    Le nombre d'enfants innus du Labrador qui se trouvent en famille d'accueil prend des proportions alarmantes.

    Les deux villages de Sheshashit et de Natuashish comptent à eux seuls 103 enfants placés dans une famille ou un foyer d'accueil par le ministère des Services familiaux de Terre-Neuve-et-Labrador.

    La population totale de ces deux villages est 1818 habitants. La proportion d'enfants sous tutelle est énorme. Ces derniers constituent le septième du nombre total d'enfants pris en charge par les autorités dans la province.

    Prote Poker, chef de Natuashish, explique que cette situation est le résultat de la consommation d'alcool et de drogues dans ces communautés. Il indique que les parents toxicomanes finissent souvent par négliger leurs enfants.

    La surconsommation d'alcool ne date pas d'hier dans les collectivités autochtones. Toutefois, ces dernières ne manquent pas de volonté pour s'attaquer au problème. À la fin janvier, Natuashish a fait adopter de justesse un règlement interdisant la possession d'alcool. Prote Poker estime que cette mesure va aider.

    Politiques inefficaces

    Selon le psychologue Wayne Hammond, les politiques et les méthodes d'interventions employées jusqu'à présent ont contribué à nourrir un sentiment d'impuissance chez les parents innus.

    Le chef Prote Poker
    Le chef Prote Poker
    Le Dr Hammond soutient qu'on a toujours exigé de ces parents qu'ils se conforment à un modèle. Il ajoute que si ces derniers ne se conformaient pas au modèle, on en déduisait automatiquement qu'ils n'étaient pas motivés ou étaient des incapables.

    On avait fondé beaucoup d'espoir dans la construction du nouveau village de Natuashish, il y a cinq ans, au coût de 280 millions de dollars, et dans lequel ont déménagé les 700 habitants de Davis Inlet.

    Wayne Hammond affirme que la construction de ces maisons n'a aucunement contré les problèmes sociaux des Innus. Selon lui, ce projet a plutôt créé de faux espoirs.

    À Sheshashit, le conseil de bande estime que de plus grandes résidences d'accueil dans la réserve aideraient à améliorer la situation. Il demande 1 million de dollars au gouvernement fédéral pour des projets d'agrandissement.

    http://www.radio-canada.ca/regions/est-quebec/2008/02/18/011-enfants-innus.asp

    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique