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http://www.radio-canada.ca/regions/abitibi/2006/12/29/002-twin-algonquins.shtml
Les Algonquins du lac Simon et de Winneways veulent qu'une entente soit signée avec Québec en 2007 concernant la gestion des coupes de bois sur le territoire du rapide Twin, près de Val-d'Or.
Des Algonquins ont bloqué le chemin forestier du rapide Twin à l'automne 2004 (archives)
Ils s'opposent à la coupe forestière de Domtar qui est effectuée sur ces terres ancestrales depuis 2004. Les Algonquins jugent que l'entreprise abuse des ressources du territoire.
À l'automne 2004, des Algonquins avaient bloqué pendant plusieurs semaines le chemin du rapide Twin pour protester contre les activités de Domtar. Une trentaine d'entre eux ont été accusés d'avoir érigé une barricade illégale. La gestion des coupes de bois sur le territoire avait également amené les Algonquins à prendre des moyens de pression similaires à l'automne 2005 et à nouveau en juillet dernier.
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Une banquise d'une superficie d'environ 66 kilomètres carrés dérive dans l'Arctique canadien, laissant derrière elle une traînée d'icebergs.
Selon un chercheur de l'Université d'Ottawa, Luke Copland, l'amas de glace équivalent à 11 000 terrains de football se serait détaché de la côte de l'île d'Ellesmere, quelque 800 kilomètres au sud du pôle Nord, en moins d'une heure, le 13 août 2005.
Le phénomène a émis une telle énergie qu'il a été détecté par des appareils sismologiques à 250 kilomètres de là. La vitesse à laquelle il s'est produit ne manque d'ailleurs par d'étonner les scientifiques.
Ils estiment qu'il s'agit du plus important événement du genre à être survenu dans les trente dernières années. Selon eux, le réchauffement de la planète en serait en grande partie responsable, mais les données dont ils disposent ne leur permettent pas de l'affirmer.
Selon Warwick Vincent, un professeur de biologie à l'Université Laval qui s'est rendu sur les lieux, ce n'aurait pas été différent si un missile cruise s'était abattu sur la côte de l'île d'Ellesmere.
Cette masse immense pourrait éventuellement constituer une menace pour les plateformes pétrolières. Elle mesure 15 kilomètres de long par 5 kilomètres de large, et son épaisseur varie entre 30 et 40 mètres.
http://www.radio-canada.ca/nouvelles/National/2006/12/28/003-ellesemere-banquise.shtml
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TORONTO (PC) - Les résidants de Caledonia gênés par l'occupation autochtone qui s'y poursuit depuis février recevront dans quelques mois les chèques d'indemnisation qui leur ont été promis en juin, a indiqué mardi le ministre ontarien responsable des Affaires autochtones.
Le ministre David Ramsay tente présentement de déterminer si les propriétaires seront indemnisés pour dommages moraux ou s'ils ne seront que remboursés pour les dépenses engagées par l'occupation, a-t-il indiqué.
Les indemnités devraient être prêtes en mars, a-t-il ajouté.
Les autochtones des Six Nations occupent un développement immobilier et affirment qu'ils ne le quitteront pas tant que la terre ne leur aura pas été restituée.
L'occupation a pris une tournure violente à quelques reprises lors d'affrontements entre résidants et manifestants. Les deux parties ont souvent été séparées par la police provinciale et ont accepté l'établissement d'une zone "sans accès" autour de la terre occupée.
http://www.corusnouvelles.com/nouvelle-residants_genes_par_occupation-43329-2.html
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cher lecteur ,
je vous souhaite a tous un joyeux noel!
passer de bonne fête!
merci de me lire
paix et joie dans votre coeur!
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COLOMBIE -BRITANNIQUE
Après dix ans de bataille judiciaire, la Cour suprême du Canada donne raison à deux chasseurs de la première nation de Tsartlip, près de Victoria, Ivan Morris et Carl Olsen, qui revendiquaient de pouvoir chasser la nuit comme le prévoit le traité Douglas signé par 14 nations autochtones en 1852. Le plus haut tribunal du pays estime que la Colombie-Britannique ne peut pas imposer son interdiction de chasser la nuit à tous et qu'elle doit respecter ce droit acquis.
L'avocate des deux chasseurs, Louise Mandell, considère que la décision aura une portée importante parce qu'elle limite le droit de la province d'empiéter sur les traités autochtones. Selon Me Mandell, la province doit comprendre les traités, les reconnaître et ne peut pas les enfreindre.
De son côté, Paul Adams de la BC Wildlife Federation critique le jugement. D'après lui, la sécurité du public est en jeu. Les membres de la nation Tsartlip rétorquent que la chasse la nuit n'est pas dangereuse par qu'ils connaissent bien leur territoire.
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