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kwei! indien blanc !
je n arrive pas a te repondre ton adresse marche pas peut tu me la renvoyer sur ma boite mail mercii qui est dans mon profil
amitier tipied
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Dans la sagesse amerindienne ont nous demande d'entretenir des phrases
simple mais efficace tel que:
Je suis parfait tel que je suis,je suis complet tel que je suis.
Je suis la meilleur personne pour moi -meme ,ma famille et toutes mes relations.
Je reconnait le courant sacré de la vie et meme pendant que mon corps
se repose,j'entendrai et déployerai le chant de la beauté afin que mes paroles puissent toujours etre vrai et je puisse toujours répondre a la sagesse inhérente du peuple.
Je réalise de plus en plus la lumiere de la sagesse,je suis lumiere.
Je suis un etre de lumiere,je reconnaitrai la lumiere en tout,je réaliserai
l'illumination complete.
J'honore la loi sacré de la vie,j'honore la beauté en moi-meme.
J'agi l'esprit clair,je suis pleinement attentif dans la lumiere de la communion qui circule entre moi et ceux que je rencontrerai.
tirer du livre:LA SAGESSE AMÉRINDIENNEquand j 'ai lu ce texte mon coeur m'a montré ceux ci:
si chacun de nous le mettrais en pratique , je penses que beaucoup de chose changerai dans le monde! chacun a une lumiere dans son coeur , meme petite elle est la! elle attend qu'on l'anime pour la faire briller d'une lumiere éteincellante.la vie nous a était donner pour apprendre et grandir dans cette lumière .les épreuves sont la pour nous éduquer avec le temps.la sagesse grandi avec l age et l amour qu'on dégage a chaque respiration et souffle que nous fesons.l'air est la vie , l'eau nous hydrate pour ne point sécher ,le feu nous donne l énergie et la chaleur de notre etre! petite bougie éclaire nous dans la vie de tout les jours pour nous montrer par ta lumière le bon chemin .pour que le jour de notre départ nous soyons le plus propre possible devant le createur .ainsi va la vie !ainsi est le chemin de chaque etre humain de cette terre ainsi que les plantes , les arbres , les végétaux ,les animaux chacun tiens son role.terre mère merci de tout ce que tu nous donnes merci a toi et au createur de ce monde! ainsi parle le coeur de tipied
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Communautés autochtones
La vie extrême à Pikangikum
Les jeunes de la communauté manquent d'espoir: nombreux sont ceux qui inhalent des vapeurs d'essence et certains vont même jusqu'à mettre fin à leurs jours. Parmi les dernières victimes, un jeune de 10 ans et une aide-enseignante de 35 ans.
L'an dernier, 10 suicides sont survenus à Pikangikum, une communauté d'environ 2300 habitants du Nord-Ouest de l'Ontario. Cela représente 42 % de tous les suicides survenus sur l'ensemble du territoire de la nation Nishnawbe-aski, qui compte 50 communautés.
Des conditions infernales
Alice Dunsford vit avec ses 20 enfants et petits-enfants dans un petit bungalow délabré et sale qui devrait normalement abriter une famille de quatre personnes, tout au plus.
Toilette portable située à l'extérieur d'une maison.
Moose, un homme de 60 ans, doit se rendre à l'usine de filtration tous les trois jours pour rapporter de l'eau potable à sa famille. Comme des dizaines de membres de la communauté, le père de six enfants transporte les cruches vides dans son traîneau, même lorsque le mercure frôle les -30 degrés Celsius.
L'ancien chef Dean Owen dénonce des conditions de vie pires qu'au tiers monde, et qui ne seraient jamais tolérées ailleurs au pays.
Lors d'une visite éclair de deux jours à Pikangikum, des représentants du gouvernement canadien ont répété leur promesse d'investir 15 millions de dollars pour doter la communauté d'une ligne de transmission électrique. La concrétisation de ce projet est essentielle pour construire un réseau d'aqueduc et une nouvelle école.
Mais les autochtones sont sceptiques. L'un d'eux, Alex Peters, rappelle que les résidents de Pikangikum ont entendu de telles promesses plus d'une fois.Hyperliens Autochtones: Des communautés désemparées
Dossier de Radio-Canada
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Autochtones
Lutter contre la pauvreté
(Archives)
L'initiative est née d'un partenariat entre la Fédération des nations indiennes de la Saskatchewan et le gouvernement provincial. Le chef de l'Assemblée des Premières Nations, Phil Fontaine, a donné le ton aux discussions en demandant aux délégués de trouver des moyens de lutter contre la pauvreté.
La jeune Elena Jacobs, de la nation cri Big Stone de l'Alberta, profite de cet événement pour chercher des partenaires afin de créer un centre de formation pour faciliter l'intégration des autochtones au marché du travail. La femme de 21 ans voudrait ainsi aider les membres de sa communauté qui vivent dans la pauvreté ou qui sont victimes de violence.
Les gouvernements des provinces de l'Ouest sont conscients de l'urgence d'intégrer la population autochtone dans l'économie canadienne. En Saskatchewan, les autochtones formeront plus de la moitié de la population d'ici 2050.Julien Lafille a assisté à l'événement
http://www.radio-canada.ca/regions/alberta/2007/01/24/005-congres-autochtones.shtml
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LES PREMIÈRES NATIONS NE DEVRAIENT PAS GÉRER LEUR PROPRE POLICELa police autochtone n'inspire pas confianceAriane LacoursièreLa Presse
Les conflits dans la réserve de Kahnawake et la crise d'Oka ont nui à la réputation des corps de police autochtones de la province. Si bien qu'aujourd'hui près de la moitié des Québécois considèrent que les Premières Nations ne devraient pas gérer leur propre police.Une étude publiée au début du mois par la Direction générale de la police des autochtones révèle que seulement 51 % des Québécois croient que les Premières Nations devraient administrer eux-mêmes la sécurité de leur territoire. Comparativement, les habitants des Prairies et des provinces de l'Atlantique sont favorables à 69 % à cette forme de gestion.Selon la porte-parole du ministère fédéral de la Sécurité publique, Mélissa Leclerc, cette perception négative des Québécois est liée aux nombreux conflits qui se sont récemment déroulés dans les territoires autochtones de la province. «Vous n'avez qu'à penser à la crise d'Oka ou au conflit de Kanesatake et aux problèmes de financement des peacekeepers qui ont fait les manchettes.
«C'est sûr que les gens sont plus critiques maintenant», dit-elle. Pourtant, les Ontariens, qui ont subi une crise majeure dans la réserve de Caledonia l'an dernier, appuient à 60 % les services de police des Premières Nations.Le coordonnateur du programme d'études autochtones à l'Université d'Ottawa, Georges Sioui, n'est pas surpris de la réticence marquée des Québécois. Selon lui, ils ont toujours été plus irrités par la présence des autochtones sur leur territoire. «Mis à part quelques exceptions, les Québécois rejettent les Premières Nations depuis la colonisation. Ailleurs au pays, les habitants sont tout simplement indifférents aux autochtones», croit-il.M. Sioui croit également que le Canada anglais est plus ouvert aux compromis. «Dans l'ouest du pays et en Ontario, il y a des cercles de justice présidés par des sages autochtones, qui offrent une autre voie au système de justice traditionnel. Il n'y aucune reconnaissance du genre au Québec», expose-t-il.Curieusement, même s'ils rejettent la police autochtone, 67 % des Québécois sont au courant de son existence. Pour leur part, les citoyens des Maritimes ne sont que 55 % à savoir que certaines réserves gèrent leur corps de police.Selon le policer Marc Duchesneau, qui travaille dans la réserve huronne Wendake, près de Québec, c'est justement parce que les Québécois entendent beaucoup parler des polices autochtones qu'ils les critiquent tant. «C'est que, quand on entend parler de nous, c'est souvent pour des mauvaises choses. Par exemple, notre récent appui aux revendications territoriales des Hurons n'a pas soulevé la sympathie du public» affirme-t-il.Pourtant, estime M. Duchesneau, les services de police des autochtones mériteraient l'appui des citoyens. « Nous avons généralement d'excellentes relations avec la population et avec les autres corps policiers. Nous pouvons aussi intervenir plus facilement auprès des communautés parce que nous connaissons bien leurs valeurs et leurs coutumes «, croit-il.Les services de police des autochtones existent depuis 1991 au Canada. Environ 319 collectivités possèdent leurs propres agents de la paix. Près de 1000 agents, pour la plupart des autochtones, y desservent environ 240 000 habitants. Au Québec, les réserves de Kahnawake, de Long Point, de Wendake, de Lac-Simon et de Maliotenam, entre autres, ont leur propre corps policier.La réserve mohawk de Kanesatake, près d'Oka, a longtemps eu ses peacekeepers. Ils ont toutefois dû quitter le territoire en janvier 2004, lorsque l'ex-grand chef James Gabriel en a été chassé. L'entente tripartite qui liait les peacekeepers de Kanesatake aux gouvernements provinciaux et fédéraux est échue depuis novembre 2005 et n'a toujours pas été renouvelée.Perception des Canadiens envers la police autochtone> Pourcentage de la population qui sait que certaines collectivités des Premières Nations administrent leurs propres services de police
Québec : 67%
Alberta : 78%
Région des Prairies : 66%
Colombie-Britannique : 65%
Ontario : 65%
Région de l'Atlantique : 55%
> Pourcentage de la population qui croit que les collectivités des Premières Nations devraient gérer leurs propres services de police
Québec : 51%
Alberta : 58%
Région des Prairies : 69%
Colombie-Britannique : 60%
Ontario : 60%
Région de l'Atlantique: 69%Sondage de la Direction générale de la police des Autochtones, réalisé entre le 1er et le 8 août 2006 auprès de 1036 Canadiens.qu'elle est votre avis ???tipied
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