• Bonjour a tous !

    Je passe un petit appel  car je vais me rendre le 21 juillet a Maniwaki . Je cherche désespérément un endroit pour dormir pour une nuit. J'ai trouvé des hotels mais les prix sont trop cher pour notre budget .Est ce que quelqu'un pourait m'aider ?

    FRED


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  • Pétition d'appui au projet Wanaki de la communauté de Kitcisakik




    Date de création : 16/04/2008
    Date de cloture : 16/04/2009

    Auteur : Comité pour les droits humain en Amérique latine (CDHAL)
    1750, rue St-André, bur. 3044
    Montréal (Québec) H2L 3T8
    info@ccdhal.com

    Depuis 1976, le CDHAL travaille pour le respect des droits humains sur le continent, en appuyant les mouvements sociaux et groupes de la base, en diffusant de l’information sur la situation socio-politique, économique et environnementale de l’Amérique latine et en dénonçant publiquement le non-respect des droits humains par des États ou des entreprises privées.

    A l'attention de : Premier ministre du Canada, l’Honorable Stephen Harper et Premier ministre du Québec, l’Honorable Jean Charest

    PÉTITION D’APPUI AU PROJET WANAKI DE LA COMMUNAUTÉ DE KITCISAKIK

    Au Premier ministre du Canada, l’Honorable Stephen Harper et au Parlement du Canada ; au Premier ministre du Québec, l’Honorable Jean Charest et à l’Assemblée nationale du Québec.

    Par la présente, nous citoyennes et citoyens québécois et canadiens souhaitons manifester notre appui au projet Wanaki de la communauté anicinape de Kitcisakik.

    La communauté de Kitcisakik est une communauté de 450 habitants située dans la Réserve faunique La Vérendrye, dans la région de l'Abitibi-Témiscamingue, au Québec. Les Anicinapek (Algonquins) de Kitcisakik refusent les contraintes liées au système des réserves et se retrouvent donc sans statut légal. Ils sont en quelque sorte considérés comme des « squatteurs » sur leur territoire traditionnel. Ils n’ont pas accès aux services des gouvernements : ils ne bénéficient pas de logements adéquats et n’ont pas accès à l’eau courante ni à l’électricité. En outre, les enfants, à partir de la 2e année, doivent quitter la communauté du dimanche au vendredi soir pour avoir accès à l’école, ce qui a de graves impacts sur l’évolution des responsabilités parentales et les repères identitaires des enfants.

    Depuis 2002, la communauté propose aux gouvernements un projet élaboré collectivement et visant à leur procurer de meilleures conditions de vie : le Projet Wanaki (« paix »). Avec ce projet, elle propose la prise en charge de la construction et de la cogestion d’un nouveau village entièrement conçu par la communauté, bâti sur les principes de la durabilité, de l’harmonie et de la valorisation de la culture anicinape. Cette initiative permettra à la communauté de prendre en main le développement de ses ressources et l’avenir de ses jeunes, qui forment 71 % de la population. Outre des habitations adaptées au climat et pourvues de services courants, le projet prévoit la construction d’une école procurant l’enseignement du cycle primaire en entier, ainsi que l’enseignement de la langue et de la culture anicinapes. Le projet Wanaki vise l’épanouissement ainsi que l’autonomie politique, culturelle, sociale et économique d’un peuple.

    Malgré que le ministère canadien des Affaires indiennes ait proposé un protocole de partenariat en vue de la construction du nouveau village, que le gouvernement du Québec ait offert une terre publique pour sa construction, que la Conférence régionale des élus de l’Abitibi-Témiscaminge lui ait donné son appui, des réponses concrètes de la part des gouvernements provincial et fédéral se font toujours attendre. Le projet Wanaki demeure irréalisé et les citoyens de Kitcisakik continuent à vivre dans des conditions inacceptables.

    Nous demandons aux gouvernements de passer de la parole à l’action :

    1- en entérinant une décision concrète et favorable au Projet Wanaki, pour que la communauté de Kitcisakik puisse débuter les travaux de construction de son village ; et

    2- en leur fournissant les moyens nécessaires pour le faire.

    En signant cette pétition, nous nous solidarisons avec les membres de la communauté de Kitcisakik et nous appuyons leur droit à se développer pleinement, dans le respect de leur culture.

    Pour de plus amples renseignements, voir : www.kitcisakik.ca ou www.ccdhal.org


    Lien vers le texte : www.ccdhal.org

    Pour faire un lien vers cette pétition, cliquez-ici

       Signer la pétition

    http://www.mesopinions.com/detail-petition.php?ID_PETITION=027355b8d8d22a7944291e70897dd9e1

     

    vous pouvez aussi regarder ce reportage qui en dit beaucoup :
     Regardez (16 min 55 s)

    http://www.radio-canada.ca/regions/abitibi/Dossiers/kitcisakik_11291.shtml


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  •  Très bonne initiative non ?

    fred

    Les jeunes prennent leur place à Mashteuiatsh
     
    en ligne le 5 juillet 2008 à 6:00
    Les jeunes prennent leur place à Mashteuiatsh
    Le Conseil des jeunes de Mashteuiatsh : Nina Bossum, Marie-Andrée Gill, Joanie Gill, Stacy Bossum, Julie Léveillée, Vicky Robertson, Mélanie Courtois.(Photo : courtoisie Pierre Gill)
     
    Le Conseil des jeunes de Mashteuiatsh est officiellement créé. Les membres auront beaucoup de pain sur la planche selon le chef du Conseil des Montagnais du Lac-Saint-Jean, Gilbert Dominique.
    Le désir de former un conseil des jeunes est né des jeunes eux-mêmes. L’objectif est de faire valoir leurs opinions et même d’influencer les membres du conseil de bande lors de la prise de décisions.

    Le chef du Conseil des Montagnais, Gilbert Dominique, souligne qu’il y a une réelle volonté au sein de son conseil de prendre en considération, lors du processus décisionnel, les opinions de l’ensemble des intervenants de la communauté. Des projets de conseil des femmes et de conseil des aînés sont aussi sur la table.

    Concrètement, le Conseil des Montagnais devra consulter le conseil des jeunes sur divers éléments significatifs comme l’élaboration du budget ou l’entrée en vigueur de certains programmes. Les élus auront donc le pouls des jeunes lorsque l’heure des choix se présentera. D’ici quelques années, Gilbert Dominique voudrait même que des représentants du conseil des jeunes siègent à la table du Conseil des Montagnais.

    Le chef considère primordial que les jeunes prennent leur place dans la communauté : « Nos jeunes sont confrontés à différentes réalités. Ils ont des solutions qui doivent être entendues. Il y a 40 % de notre population qui a moins de 25 ans, alors c’est encore plus important qu’ils prennent leur place. Ce conseil ne sera pas une coquille vide. Il aura un réel pouvoir », estime M. Dominique.

    Nina Bossum, Marie-Andrée Gill, Joanie Gill, Stacy Bossum, Julie Léveillée, Vicky Robertson, Mélanie Courtois sont les premiers membres de ce conseil des jeunes.

    http://www.letoiledulac.com/article-229454-Les-jeunes-prennent-leur-place-a-Mashteuiatsh.html

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  • Arrachés à leur communauté et envoyés dans un pensionnat

    Deux Atikamekw racontent leur histoire

    Geneviève Blais
    le 1 juillet 2008 à 10:16
    Arrachés à leur communauté et envoyés dans un pensionnat

    Aline Dubé et son garçon, Yannick, provenant de Manawan, ont séjourné à Pointe-Bleue. Photo Geneviève Blais
     
    Ils sont Atikamekw. À l’adolescence, ils ont été forcés à quitter leur famille, leurs amis et leur communauté pour se rendre au pensionnat de Pointe-Bleue. Ce drame, plusieurs autochtones de Manawan l’ont vécu. C’est le cas d’Aline Dubé et de son fils, Yannick.
    «C’était dur. On se cachait pour ne pas prendre l’autobus. On était jeune et on ne voulait pas aller là. Quand je suis arrivée là-bas, j’ai eu beaucoup de peine», se rappelle Mme Dubé.

    Âgée de 14 ans, elle a pris le chemin du Lac-Saint-Jean et y est restée pendant cinq ans, de 1964 à 1969. Pendant cette période, elle est retournée une seule fois chez elle, à Manawan.

    Les sorties étaient très rares. «Parfois, nous avions des activités à Alma ou à Arvida, mais ça n’arrivait pas souvent. Habituellement, nous avions deux heures de libre le dimanche après-midi. Le reste du temps, il fallait rester là», a soutenu Aline.

    Yannick a séjourné un an au pensionnat. Il se souvient lui aussi des restrictions. «C’était difficile. De septembre à décembre, toutes les fois que je sortais dehors, je voulais prendre la fuite et retourner chez moi. Il n’y avait pas de barrière, mais on savait qu’il ne fallait pas dépasser les limites du pensionnat», a-t-il mentionné.

    Bien qu’ils n’aient pas été victimes d’agression physique ou sexuelle, les deux Atikamekw se rappellent très bien des punitions qui pouvaient être très sévères.

    «On était puni pour rien. Une fois, je suis restée à genoux, les bras dans les airs, dans une salle de douche pour les filles. La religieuse m’avait oubliée là durant la nuit. Quand elle est arrivée, j’avais les genoux écorchés. Elle m’a aidée à me relever et s’est excusée», a souligné Aline.

    Son garçon, quant à lui, avoue avoir copié le dictionnaire jusqu’à la lettre «M». D’autres sanctions étaient ordonnées. Par exemple, il pouvait être interdit de communiquer avec les gens dans le pensionnat, de sortir ou même de prendre un repas.

    «Certains vivaient de la violence, mais ce n’était pas au grand jour. C’était caché», a expliqué Yannick.

    À leur arrivée dans l’établissement, les pensionnaires étaient recouverts de produit contre les poux et recevaient un numéro. Dans certains endroits, les gens étaient appelés par leur numéro. Dans d’autres, comme à Pointe-Bleue, les jeunes pouvaient garder leur nom. Les autorités se réservaient toutefois le droit de changer le prénom s’il avait une consonance autochtone.

    Les liens avec la famille étaient réduits. Le téléphone était peu accessible et les lettres étaient vérifiées avant l’envoi. «Nous écrivions, mais nous ne savions pas si nos familles avaient reçu notre message», a souligné Aline.

    Cette façon de faire avait pour but, selon Yannick, d’éloigner les autochtones de leur communauté. «La mentalité, c’était d’envoyer les autochtones le plus loin possible de chez eux pour ne pas qu’ils y retournent», a-t-il soutenu.

    Cette démarche a porté ses fruits, car certains anciens pensionnaires ne sont jamais retournés dans leur communauté pour ne pas être obligés d’envoyer leurs enfants dans les établissements.

    «Ce sont des générations et des générations qui ont été prises en charge. Il y en a qui ont perdu leur vie autochtone», a souligné Yannick.
    Les excuses du gouvernement fédéral
    Le 11 juin, des excuses officielles ont été adressées aux élèves des pensionnats indiens pour les traitements qu’ils ont subis. Ces excuses, quelque 15 000 autochtones du Québec les attendaient depuis longtemps.

    Elles ne sont toutefois qu’un léger baume. Les anciens pensionnaires veulent des actions. Deux indemnités ont été mises en place par le gouvernement fédéral: le paiement d’expérience commune pour tous les gens qui ont séjourné dans ces établissements et le processus d’évaluation indépendante pour les survivants qui ont subi de la violence.

    «Certains dossiers ont disparu et les gens doivent se battre pour prouver qu’ils ont habité dans un pensionnat. Par ailleurs, plusieurs établissements n’ont pas encore été reconnus par le gouvernement. Il y en a environ 400 en attente. On travaille pour les faire approuver», a précisé Yannick.

    Il soutient que le gouvernement, à l’époque, prenait en charge l’éducation des autochtones et les retirait de leur communauté. Ces conditions sont, selon lui, aussi applicables à des établissements comme les écoles Thérèse-Martin ou Barthélemy-Joliette.

    «Nous voulons qu’elles soient reconnues, car les jeunes autochtones devaient séjourner dans des familles d’accueil et étaient exclus de Manawan», a-t-il indiqué.

    Par ailleurs, les communautés souhaitent que des actions soient prises afin de favoriser la santé, l’éducation et l’accès au logement.

    Il reste aussi beaucoup de travail à faire pour sensibiliser les gens à la réalité des Autochtones.
     

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  •   S.O.S Communauté Amérindienne de Kitcisakik (Québec)<o:p></o:p>

                                            

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     Kitcisakik est une petite communauté anicinape logée au cœur de la réserve faunique de La Vérendrye, à 470 km au nord de Montréal, en Abitibi-Témiscamingue. La communauté de Kitcisakik est l'une des bandes autochtones les plus pauvres de l’est du Canada. Elle ne dispose d'aucune infrastructure permanente et les 100 maisons qui y sont construites sont dépourvues de fondation. Les maisons n'ont pas d'eau courante, pas d'électricité et pas de téléphone. Les habitants doivent utiliser le bloc sanitaire communautaire où l’on retrouve six toilettes, six douches et une petite buanderie. C’est par le fait même le principal lieu où l’on peut s’approvisionner en eau potable. Une maison sur dix possède un réfrigérateur et les habitants doivent cuisiner sur des réchauds de camping et s'éclairer avec des lampes fonctionnant au kérosène, à moins qu’ils ne possèdent une génératrice portative.<o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    La communauté n’a pas le statut de réserve au sens de la Loi sur les Indiens. Les gens de Kitcisakik sont plutôt vus comme des « squatters » sur leur propre territoire, créant ainsi un contexte peu favorable à leur développement. Toutefois, depuis 2003, un plan d’aménagement pour un futur village a été élaboré, il s’agit du projet Wanaki, terme Anicinape signifiant : « Paix ». Le plan demeure en 2008 un projet, rien n’est encore concrétisé avec le Ministère des affaires indiennes et du Nord Canada.<o:p></o:p>

     

    Malgré des conditions de vie rudimentaires, la fierté de la population est palpable et l’accueil qu’elle réserve aux gens de l’extérieur en fait bonne foi. Les Anicinapek tiennent à rester debout et continus de croire à un changement positif au sein de leur communauté. Un projet d’école de musique est un exemple significatif d’apport bénéfique pour toute une communauté, et François Gerardin peut en témoigner personnellement :

    <o:p></o:p>

     « Bonjour camarades d’ici et d’outre-mer,

    Je fais une courte présentation. Je suis François Gerardin, du Québec. J’ai rencontré Maylis Rimbert en surfant sur son site internet : Le Bâton de Parole. J’ai travaillé de nombreuses années en forêt, dans le domaine de la faune, puis en musique traditionnelle et en coopération internationale depuis quelques années, toujours en lien avec les enfants et la jeunesse. Je travaille dorénavant pour la communauté Anicinape de Kitcisakik; des Algonquins vivant en forêt dans la région de l’Abitibi-Témiscamingue, au Québec. Je travaille sur différents dossiers pour la communauté, dont la coordination du camp d’été pour les enfants de Kitcisakik.

    Kitcisakik est de loin la communauté autochtone la plus défavorisée du Canada. Considérés encore comme nomades, les Kitcisakik Ininik ont deux villages; l’hiver et l’été, voilà pourquoi ils sont encore classés comme « nomades ». La chasse, la pêche et les activités traditionnelles sont encore bien présentes dans la communauté, bien que malgré tout nous remarquons une décélération de ces activités depuis quelques années.

    À l’été 2008, 50 enfants de la communauté participeront au camp d’été, et nous comptons bien leur faire passer des moments magiques. Mais comme rien n’est gratuit dans ce monde, nous éprouvons certaines difficultés à bien organiser le camp. Nous voulons entre autre faire l’achat de 50 petits djembés afin de débuter dès cet été des classes de musique, et organiser un séjours inter-tribal entre la communauté Anicinape de Kitcisakik et les jeunes Innus d’Essipit, près de Tadoussac… lieu de prédilection pour l’observation des baleines.

     

    Je suis donc en recherche de financement pour mettre à jours ces idées, et l’idée m’est venue de vous lancer une perche. Ici au Québec, il est relativement facile de trouver du financement pour les autochtones vivant sur des réserves, mais puisque Kitcisakik est considérée comme « nomade », leur juridiction ne relève d’aucun gouvernement. Ils vivent ainsi entassés dans des cabanes en bois, sans eau, sans électricité, sans frigo, sans téléphone. 80 maisons de bois non isolées, de 3.5 mètres par 4 mètres, sans cave ni étage, et cela pour 430 personnes. Ces conditions déplorables sont une grave lacune au niveau des droits de l’Homme. Malgré ces conditions difficiles, les gens de Kitciskik sont des gens forts, solidaires et continue de croire en une vie meilleur. Bien sur les choses ne sont pas si simples, mais vous comprendrez que n’ayant pas le droit à ces services essentiels, l’argent dédié aux loisirs des enfants est encore plus difficile à trouver.

    Alors voilà, je tâte le terrain.

    Dans le cas où vous seriez intéressés à aider financièrement ce camp d’été, et principalement les petits mousses de Kitcisakik.

     <o:p></o:p>

    Bien à vous

    François »

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    La communauté se constitue de 482 personnes. En tout, 75% de la population à moins de trente ans et les aînés sont de l’ordre des 7%.<o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    Depuis 2005, une école primaire fut aménagée dans le village, ce qui est totalement nouveau puisque jamais une école n’avait pris forme dans la communauté. Cette étape marquante pour la communauté est porteuse de beaucoup d’espoir. Pour l’année scolaire en cours, sur un total de 113 jeunes âgés de 5 à 17 ans, 23 enfants, de la maternelle à la 2e année, sont scolarisés à l’école Mikizicec de Kitcisakik. 85 autres jeunes d’âge primaire et secondaire sont scolarisés à Val d’Or et vivent en foyer scolaire et en ressource de type familiale (famille d’accueil), 4 sont dans un centre de réadaptation et 3 à la formation pour adultes. 7 adolescents ne fréquentaient pas d’établissement scolaire au moment du recensement. Les jeunes de Kitcisakik ont besoins de sources de motivations afin d’être plus assidus sur les bancs d’école, et la musique en est une avérée.<o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

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    C’est pourquoi , avec notre association « l’appel de la nature » , May Rimbert du forum le Baton de Parole , nous avons décidé de les aider à réaliser leur projet mis en place par François Gérardin . C’est à dire d’ établir une école de musique spécialisée (musique, conte et danse traditionnelle Anicinape avec soutient psychologique) dès juillet 2008 pour les jeunes . Et par la suite  les aider à la réalisation du nouveau village. Notons ici le partenariat avec l’organisme Jeunes musiciens du monde (www.jeunesmusiciensdumonde.org) dans l’établissement de l’école.  <o:p></o:p>

    Nous avons besoin de l’aide de tous pour que leur projet se réalise.<o:p></o:p>

     POUR L'EUROPE  :

    Vous pouvez acheminer les dons (avec mention "pour Kitcisakik" sur le chèque) à cette adresse :

    Association l'appel de la nature , résidence Centifolia ,680 chemin de la Rouguière ,06480 La Colle sur Loup France





    POUR LE CANADA  :

    Vous pouvez acheminer les dons (avec mention "pour Kitcisakik" sur le chèque) à cette adresse :

    Comité pour les droits humains en Amérique latine (CDHAL) suivie par madame Marie-Dominik Langlois
    211, rue Jarry Est
    Montréal (Québec) H2P 1T6

    Pour tous renseignements vous pouvez joindre

    François Gerardin (au Québec)
    Tél : Conseil des Anicinapek de Kitcisakik
    tel : 819.825.1466
    fax : 819.825.5638
    Courriel : francois.gerardin@kitcisakik.ca;

    May Rimbert pour Bâton de Parole (France)
    Tel : 06 77 48 54 39
    Courriel : mayrimbert@hotmail.com
    Adresse du site : http://groups.msn.com/LeBatondeParole

    Fred Delforge (France)
    Tel : 06 19 43 29 74
    Courriel : associationlappeldelanature@msn.com
    Site de l'association : http://lappeldelanature.nuxit.net/forum/portal.php
    Blog info : http://lappeldelanature.oldiblog.com/


    François Gerardin est à votre entière disposition pour répondre à vos interrogations concernant ce projet et la communauté de Kitcisakik. De plus, nous vous invitons fortement à lire le rapport complet sur la communauté de Kitcisakik sur « Bâton de Parole (http://groups.msn.com/LeBatondeParole).
    S.O.S communauté de Kitsisakik
    Ainsi que dans les messages (Général)
    S.O.S. communauté Kitsisaki


    Nous restons à votre disposition pour tous renseignements
    Cordialement
    fred ,may et françois

    Notre association l'appel de la nature sera a Kitcisakik mi- juillet (elle est attendu labas ) pour faire un reportage plus complet et une relation directe avec cette communauté a suivre......


     

    <o:p></o:p>

    MERCI POUR EUX !<o:p></o:p>

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